Avant j’étais plutôt volage et adorait faire des rencontres pour une nuit. Mon terrain de chasse favoris était une boite de nuit qu’on appelait « le nautilus », là-bas je tirais à coups sûr ! En effet cette boite regroupait des femmes matures qui étaient venus pour rencontrer et se faire sauter par de jeunes hommes.

Un soir, je reconduis une belle femme de 42 ans chez elle après une séance de pelotages et de baiser fougueux dans cet établissement. Je savais que notre nuit serait inoubliable ! Cette belle blonde aux courbes avantageuses me faisait un effet du tonnerre. Arrivé chez elle, elle se jeta sur moi avant même que je franchis le pas de la porte. Les boutons de ma chemise volèrent dans toute la pièce afin de découvrir mon torse. Madame commença par passer ses doigts et ses ongles le long de mon ventre en remontant vers mon cou, puis elle approcha sa bouche de mes tétons durcis. Elle les suça puis les mordilla avec fougue. Elle était raide excité et voulait ma bite et a su me le faire savoir vu ces caresses sexes ! Puis elle déboutonna mon pantalon afin de libérer mon engin déjà dur et dressé. Avant même que je puisse dire un mot, elle l’enfourna dans sa bouche et me fît une pipe de rêve. Pour l’instant c’est la meilleure fellation que j’ai connu, en même temps c’est dans les vieux pots qu’on fait de la bonne soupe. Après cette mise en bouche, je ne pu que lui rendre l’appareil avec des caresses sexes. Madame avait un minou fraichement épilé en ticket de métro. Son sexe dégoulinait sous mes doigts et plus je les plongeais dans son antre, plus elle mouillait et gémissait. Sa chatte était prête à ce que je la baise. Je mis une capote et lui mis mon sexe dur entre ses cuisses.

Notre étreinte a duré des heures et on s’essaya a de nombreuses positions jusqu’au moment où sa mouille devint de plus en plus collante et la pénétration de moins en moins facile. Mon regard se dirigea donc vers notre mélange intime et vu avec effroi que l’entrain avait rompu mon frein et que du sang dégoulinait de mon sexe ! Quelle horreur ! Et quelle douleur ! Et en plus je n’ai pas eu le temps de jouir, pourtant cette baise avait tellement bien commencé. Je n’ai jamais revu cette femme mûre et en plus j’ai eu le droit à une abstinence de plusieurs semaines, qu’elle poisse ! Quelle baise de merde…