9 décembre, 2010
Cette histoire commence par une soirée entre amis dans laquelle les conversations avaient progressivement convergé vers de sujets de plus en plus coquins. Et de décider de jouer à un jeu comme action ou vérité ou un strip qque chos …, c’est alors que je me suis souvenu avoir vu sur le net un jeu en ligne avec questions et défis aléatoires pour couple ou groupe. L’idée est retenue avec enthousiasme, et nous voilà lancé avec projection de l’écran sur la TV.
D’abord il faut que nous nous présentions : prénom, sexe, préférence sexuelle, détail des vêtements portés, objets et jouets disponible à choisir dans une liste (appareil photo, confiture, boissons, sex toys, crèmes et lubrifiant …).
Première hésitation, les préférences sexuelles. Si les dames ont l’habitude de nous donner, à chaque occasion, le plaisir du spectacle de leurs relations saphiques, mon ami et moi n’avons jamais accueilli dans nos fondements autre chose que des godes. Sous l’influence des dames toutes émoustillées à l’idée de nous voir nous sucer ou nous pénétrer nous cochons (le terme est plaisant) l’option « bi ».
Deuxième hésitation le choix du degré d’érotisme du jeu. Et, tant qu’à jouer autant ne pas le faire à moitié et nous optons pour la version « sans limite » en se promettant bien de refuser les défis s’ils devenaient trop hard.
Et le jeu commence …
Tour à tour le jeu nous propose une action avec un plusieurs des autres joueurs ou une exhibition … Ces premières actions sont assez softs : petits baisers à divers endroits oreille, bras , bouche …, petites léchouilles ou palpations …. Même si ça reste relativement anodin lorsque mon ami et moi avons dû nous embrasser, avec la langue a bien précisé le jeu, nous avons eu un moment de blocage. Bizarrement autant nous avions fantasmé sur les choses du sexe entre nous, autant se « rouler une pelle » nous paraissait contre nature. Nous l’avons fait, sans grand plaisir, mais en constatant que finalement c’était plus facile que nous ne l’imaginions, et pas très différent d’avec une fille.
Le jeu se corse peu à peu et nous commençons à nous dévêtir les uns les autres en étant soumis à divers défis de plus en plus tactiles, buccaux, exhib : s’insérer un gode, un œuf vibrant, un glaçon (oui oui) dans le minou ou le rectum etc …
Nous réalisons ces défis alors que j’aurais pensé que nous en aurions refusé une bonne part, mais l’excitation, la notion de défi, vouloir pousser les autres à ne pas se « dégonfler » nous amène à tout faire et même en en rajoutant.
Les filles sont trempées et nous le montrent en nous faisant sucer leurs doigts humide de cyprine après se les être passé sur le minou. Le désir tend nos sexes à les rendre douloureux et il est de plus en plus difficile de ne pas nous toucher.
Nous sommes maintenant tous à poil, nus plutôt car nous n’apprécions pas trop les poils. Et le jeu, déjà torride, gagne encore en « hardiesse » : et je me retrouve à me doigter devant les autres qui doivent faire une photo de l’opération !!! Je m’exécute volontiers, mais je me demande encore comment j’ai réussi à ne pas me répandre partout ! Et ça continue avec des attouchements, des léchouilles limitées dans le temps de nos sexes … Mais encore rien entre mon ami et moi, et je crois que nous en étions presque déçus, en fait que quelque chose ou quelqu’un nous contraigne à passer à l’acte nous déculpabilisait et nous arrangeait bien !
Et un cran encore : mon ami est mis en demeure par le jeu de sodomiser ma dame (la mienne, pas madame) durant 30 secondes. La ça se gâte, ma dame n’est pas très porté sur son anal (bien plus sur le mien) et apprécie plus les objets que les pénis, d’autant que celui de mon ami est impressionnant, ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle Rocco dans l’intimité. Nous passons le gage sans le faire et le suivant est de se raser le sexe, sauf que c’est déjà fait. Alors ma dame a une idée géniale « je veux bien me faire sodomiser mais alors, au lieu de se raser nous allons tous les 4 dans la salle de bain pour se laver le c…. Elle entend par là se laver le rectum car nous avons une douchette avec un embout très agréable à l’introduction. Jusque là nous n’avions jamais fait ce type d’ablution que seuls. Chacun a commencé lui-même dans le coin du bidet et les autres restaient à l’entrée de la salle de bain, jusqu’à ce que notre amie dise « quand est ce qu’on est propre et que l’on arrête ? », évidemment ma dame s’est ruée pour lui montrer et l’a copieusement godé avec la douchette, puis, sur sa lancée elle a fait de même à mon ami et moi en veillant bien d’éviter nos sexes prêts à exploser.
Tout propres, et lubrifiés (au cas où), nous retournons au salon reprendre le jeu qui s’était mis en veille. Dont acte petite sodomie de 30 secondes sur ma dame par notre ami redoutablement monté. Et c’est une première fois car si les filles ont eu des rapports entre elles, nous n’avons jamais dépassé le flirt avec nos illégitimes. Nous aidons à la manœuvre, je dilate ma compagne comme j’ai l’habitude de le faire pendant que notre copine lui grignote le clitoris en titillant son point G. Notre ami reste stoïque et se motive pour se maîtriser. Il reste allongé sur le dos et ma dame se positionne au dessus de son dard et descend pour s’empaler doucement en poussant pour faciliter l’introduction guidée par notre amie. 30 secondes !!! Impossible de se désemboîter !!! Ma dame joui comme une folle, introduit un doigt dans l’anus de mon ami qui ne peut plus rien retenir et ils s’inondent de plaisir mutuellement. Nous ne sommes pas en reste avec notre copine qui joui assise sur la bouche de son homme alors que j’asperge son visage de mon sperme. Descente, les jambes tremblantes, nous ressentons, l’esprit embrumé, un profond bien être d’avoir vécu cette expérience et ressenti autant de plaisir. Nous nettoyons tous les trois le visage de notre amie et nos langues chargée de mon sperme se rencontrent délicieusement.
Le jeu n’est pas terminé, mais nous décidons d’y mettre fin car nous avons besoin de récupérer. Juste pour voir je passe les questions et gages restant sans que les faisions, et parmi ces gages il y avait une fellation et une sodomier à exécuter par mon ami sur moi ! L’excitation tombée, je suis bien content que nous nous soyons arrêtés là. Mais les filles ne l’entendent pas de cette oreille et se jettent sur nos sexes et nos anus pour que nous retrouvions de la vigueur en clamant « on veut vous voir baiser !!! »
Bon un peu de temps et de champagne plus tard, nous revoilà d’attaque, et il faut que l’un de nous fasse le premier pas. Heureusement les filles sont là. Elle nous sucent et nous amène en position de 69. Et nous franchissons le tabou : nous nous suçons avec l’aide de nos compagnes qui bientôt nous abandonnent car nous y avons pris plaisir ! Alors que j’ai une envie dingue de goûter le sperme de mon ami, celui-ci me demande d’arrêter « arrête, sinon je pourrais pas t’enc… ». J’arrête perplexe car j’ignore si après avoir joui il me restera suffisamment d’excitation pour avoir envie de sodomie. Ma compagne qui perçoit mon désarroi m’enfile un gode dans le c… et je me laisse aller dans la bouche de mon ami qui après avoir hésité à cracher ou s’étouffer décide d’avaler. Du coup je lui roule une pelle sans me forcer et je retrouve mon gout sur ses lèvres. Lui est excessivement excité et bien décidé à me la mettre profond. Malgré la jouissance et grâce aux caresses de ma dame j’ai aussi envie de sa queue et je suis prêt à l’accueillir (heureusement que les sex toys que j’utilise sont de bonnes dimensions et que ma dame m’a bien préparé, et je ne sais pas pourquoi, mais à cet instant je me souviens de la blague pied noir sur la pièce de 5frs, et je ris sans avoir le temps de m’expliquer car je sens l’énorme gland sur mon anus).
Il me rentre sa bite dans le c… d’un coup, sana ménagement, je ressens une violente douleur qui me fait me crisper autour sa bite (c’est un coup à rester coincés çà !), je cris, il s’excuse, j’ai même l’impression qu’il débande un peu. La douleur passe, c’est très très bon, rien à voir avec un gode, j’éjacule encore une fois sans même bander, c’est divin, et la jouissance continue jusqu’à ce que je sente son foutre chaud inonder mes muqueuses et sa queue ressortir doucement en s’amollissant. Là il faut avoir une certaine expérience du sexe anal car l’impression est proche de l’envie de déféquer et il ne faut surtout pas se bloquer mais au contraire se laisser aller.
A peine son sexe sorti de moi que nos compagnes le suce, encore toutes excitées par ce spectacle qu’elles attendaient tant. Elles se tournent ensuite vers moi et boivent entre mes fesses le foutre qui coule. Et je constate que pendant nos ébats ma dame s’est équipée d’un gode ceinture dont le sien vibre encore, je lui lance un regard interrogateur et elle me réplique « tu crois pas que j’allais me faire enc…. Sans lui rendre la pareille !!! ». Elles sont vraiment extraordinaires nos compagnes, nous avons beaucoup de chance, car sans elles nous ne serions jamais allés aussi loin, et c’eut été dommage !!! Et maintenant on en redemande, sans pour autant se sentir plus homo qu’avant.
En espérant que ce récit vous distraira, et, je serai très honoré si vous le lisez d’une seule main …
Par azazel84 sur http://www.forum-hard.com/sexe/forum67/topic19721.html
