A la vitesse de 90 miles à l’heure, Marty Mac Fly à bord d’une delorean trafiquée en machine a voyager dans le temps retourna en 1955…
Tel ce jeune homme, c’est avec plaisir, que nous allons voyager dans mon passé… C’est avec joie, que nous allons nous rendre à Parentis en Born petite bourgade Landaise au bord de l’ocean atlantique, nous sommes en mai 2001…
Entrez tous dans l’illustre voiture du Docteur Emmett Brown et laissez vous emporter par le convecteur temporel.
5, 4 ,3, 2, 1…..
Entre le boulot pour me payer les cours de théâtre, les cours de théâtre en eux même, je fais également partie d’une troupe amateur… Ce n’est pas de tout repos, mais c’est ma vie. Et puis, il faut dire que cet art plait aux filles et étant célibataire, j’en profite un petit peu.
Ce soir, c’est une representation, la 10 ème et dernière avant de partir pour notre festival fetiche à saint georges de didonne. Comme d’habitude, l’excitation est palapable, je fais le pitre en montant les décors. La salle est grande, la scène aussi et les coulisses… Ah les coulisses…
Pour une fois, elle sont grandes, spatieuses et tout au bout un escalier menant dans une vaste loge sous la scène…
Alors que tout les autres ont la pression qui monte, je passe mon trac en débordant d’energie.. Comme d’hab je fou gentiment un joyeux bordel.
L’heure approche, la salle se remplie de monde. Je suis heureux, nous faisons salle comble.
Enfin l’heure vient à sonner et l’assistant metteur en scène donne les trois coups…Le rideau se lève…c’est partis.
Ma présence scènique me requiert sur l’ensemble du premier et du second acte puis me laisse alors un répis sur la majeure partie du 3ème et dernier acte.
Tout se passe à merveille, j’enchaines mes répliques, l’ambiance est incroyable.
Enfin vient alors l’heure pour moi de quitter la scène pour n’y revenir qu’une bonne trentaine de minutes plus tard. Je sors et ce faisant, je décide
de descendre immédiatement dans la loge afin de changer de costume et de coiffure… Comme ça, me dis-je, je serais tranquille et n’aurais pas à stresser au dernier moment.
Aline, comédienne l’année d’avant, a désiré pour cette année, de n’être que costumière.
– J’ai trop de choses à faire cette saison, je n’aurais pas le temps d’apprendre un texte, nous avait-elle dit quelques mois plus tôt.
Comprenant, que j’allais avoir besoin d’aide, elle me suivit.
J’avoue que l’année passée, pendant le fameux festival, nous avions eux un échange de baisers pendant la soirée de cloture, mais nous n’avions pas été plus loin, elle étant mariée.
J’avoue également, que toute cette saison durant, je n’ai eu de cesse de la chambrer de façon coquine…
Mince, brune aux yeux bleux, elle avait à l’epoque 38 ans, j’en avais 23.
je commence à me désahbiller, elle m’envois le second costume, me voilà presque prêt, j’ai cependant la coiffure à ajuster. Elle s’approche de moi avec le peigne, elle me le passe sans les cheveux.
Elle est maintenant si proche, que ses lèvres ne sont plus qu’a quelques centimètres de mon nez…Oui elle est un peu sur la pointe des pieds pour me peigner.
Je ne reflechis alors presque pas et l’enlace de mes bras puis l’embrasse fougueusement. Elle échappe un gémissement léger, comprennant qu’elle aime et n’est pas froissée, j’appuie un peu plus fort encore un deuxième french kiss,
puis reculant de quelques centimètres nous laissons nos regards se croiser longuement.
– Je…Je suis désolé de t’avoir embrassé,mais j’en avais tellement envie.
– Non, ne le soit pas, c’etait très très bon.
– J’en suis heureux Aline, mais quand même je n’aurais pas dput, tu es mariés !
– Oh, tu sais, ça fait deux mois que l’on fait chambre à part. Et puis, s’il n’y avait que lui, je ne me sentirais plus femme du tout et c’est grâce à regard sur moi si je me sens encore belle et désirable.
sur ses mots, je lui prend la main et la regarde plus intensement encore.
– Fred, j’ai envie de toi, tout de suite…maintenant…
– Heu…Maintenant…avec les autres à quelques mètres en coulisse !
– Oui, ça ne te plaierais pas ?
A ce moment là, je sens déjà le bas ventre me brûler, je n’ai pas encore donné ma réponse, que déjà, sa main a baissé ma braguette et me carresse.
Ma virile masculinité se dresse au firmament.
Aline s’agenouille desormais, sort ma verge de son fourreau textile et commence à me prodiguer une fellation. Ses coups de langue sont doux, sa main
se balade sur ma peau, je perd notion de tout, même des gens qui m’entourent. Seuls raisonnent les pas de mes comparses au dessus de ma tête jouant
le restant de la pièce.
Après quelques minutes divine, elle s’arréta.
– Prend moi !
D’un pas pressant elle se dirigea vers la longue table ou l’on se prépare… Vous savez, celle ou il ya le miroir entouré d’ampoule dans une loge.. Vous voyez ? On la nomme aussi coiffeuse.
la pièce est longue et tout un pan de mur y est reservé a cet effet.. Là une dizaine de miroir se succèdent.
Elle a maintenant prit appui sur la table en bois et relevée sa jupe, me révélant ainsi sa croupe lisse.
– Vient ! me dit-elle me regardant depuis le miroir qui lui faisait face.
Prevoyant, j’ai une capote, dans mon portefeuille, je l’attrape et l’enfile.
Le plaisir est intense et je n’ai pas le moindre mal à entrer mon sexe dans sa petite chatte mouillée.
Ne pas faire trop de bruit…Ne pas faire trop de bruit, mais bon sang que c’est difficile pour nous, de ne pas en faire de trop…
Alors que mes coups de reins culbutent la belle et que nos yeux se rivent sur la glace, elle me dit soudain :
– Ne décharge pas en moi, j’ai un autre petit cadeau pour toi.. Quand tu y es, retire toi…
Inutile de dire, que je ne sais pas ce qu’elle a prévu, mais ça m’excite au plus haut point… L’heure tournant et étant au paroxysme de mon désir,
Je me retire alors. D’une vivacité accrue, elle se retourne s’agenouille de nouveau et reprend dans sa bouche mon sexe turgescent le suçant avec rapidité.
Je n’y tient plus, j’explose… Ma precieuse semance coule au fond de sa gorge.
Putain que c’est bon !!!
Nous sommes encore au paradis et redescendre se fait difficile. Pourtant, le moment est arrivés, je doit remonter finir la pièce !!
Je me hâte et suis juste à temps pour entrer…
Inutile de vous pousser, la Delorean est assez grande pour vous tous… Ca y est, vous êtes de nouveau installé ?
Prêt pour un retour en 2011 ?
5,4,3,2,1…
Et voilà, vous savez comment j’ai eu une aventure dans les loges d’un petit théâtre alors que la salle était pleine de pas moins de 300 personnes. Dans les coulisses,
se tenaient, le souffleur, l’assistant metteur en scène et les autres comédiens(au nombre de 6) qui rentraient et sortaient de scène par un chassés croisés. Et personnes ne nous a surpris.
Et j’ai de plus fini la pièce en venant tout juste de jouir ce qui fait un effet extrêment plaisant !
Après cela, nous avons eu plusieurs autres moments intimes tout les deux (notemment au fameux festival qui avait lieu la semaine suivante) ce qui a eu pour effet de la rebooster et de remonter son couple.
Aujourd’hui elle est toujours mariés et tout va pour le mieux pour elle.
Je n’aurais jamais accepté une quelconque relation avec elle, si son mari avait été un homme honnete avec elle. Je ne suis pas un briseur de couple, mais ce fût là, la seule femme mariée dont j’ai été l’amant
hors libertinage consenti de toutes les parties.
Par FredZen pour http://www.forum-hard.com/sexe/forum67/topic20634.html