Le passage du collège au lycée… quel bel âge tout de même. Vacances Juillet/Août de l’année 2000, Saint-François, Guadeloupe.
Comme chaque après-midi, nous voilà avec une bande d’amis, sur la belle plage des Raisins-Clairs. Sable fin, blanc, mer turquoise, un petit coin de paradis. La plage était bondée, sur les 200/300 mètres de côte, pas une place pour qu’une fourmi se fraye un chemin. Des locaux aux touristes, tout le monde est venue se détendre sur la plage et les belles femmes, jeunes mais aussi moins jeunes ne manquent pas. Comme toujours, jeunes garçons que nous sommes, nous paradions avec nos acrobaties sur la plage. A cette époque, nous avions encore notre carrure de sportif, les corps parfaits à exhiber sous se soleil. Las de nos galipettes en tout genre, nous voilà prêt à prendre un petit bain. 29°, la mer est chaude comme j’aime, ni huile, ni trop houleuse, juste ce qu’il faut pour se laisser porter par les vagues. A une dizaine de mètre, se trouvait une jeune inconnue avec son petit frère. Elle n’était pas d’ici, jamais vu et encore toute pâlichonne… elle devait être fraichement arrivée. Les regards se croisent, se décroisent mais pas pour les mêmes raisons. Tandis qu’elle, elle se demandait, qu’est-ce qu’il me veut celui là, moi je suis poussé par mes camarades à l’aborder… chose que je ne fais jamais, aborder une fille avec ma timidité maladive, ça finirait en fiasco doublé de la honte de ma vie. Après une approche sans trop convaincre, me voilà à faire connaissance avec la demoiselle. Première chose me sautant aux yeux, son accent du sud. La jeune demoiselle me révèle qu’elle est de Marseille et que c’est son premier voyage aux Antilles. J’essaie tant bien que mal, de tenir la conversation… avec du recul, j’étais maladroit comme pas tenté et je me demande encore comment… ne brûlons pas les étapes… après une première approche, je lui propose un second rendez-vous qu’elle accepte et retourne vers mes compagnons. Les questions n’ont pas tardé à fuser, mais j’en restais là, je reste quelqu’un de discret et n’en dis pas trop.
Le jour du premier vrai rendez-vous est arrivé. Cette fois je suis seul, il était rare à l’époque pour moi, de me rendre seul sur la plage. La demoiselle est accompagnée de sa mère et toujours de son petit frère. Après que celui-ci nous laisse un peu entre adolescents à la libido débordante et sans retenue, je commençais à caresser la demoiselle et la prendre dans mes bras. A cet âge, mes mains ne connaissent qu’une route, c’est partir d’en haut et aller droit en bas. Sous son slip noir, je sens un doux minou, ses poils mouillés mais ils sont si fins que j’ai eu l’impression qu’elle n’en avait pas. C’est à ce moment qu’elle me retire la main du slip et me dit que j’allais trop vite. Je me calmais 5/10 minutes et lui propose de l’emmener ailleurs, dans un endroit où il n’y a personne ou peu de monde.
Chose qu’elle accepte. Nous voilà donc dans un petit chemin, entre le stade et la piscine, à quelques mètres de la plage. Nous entamons une série de baisers et de caresses. Elle ne me laisse toujours pas mettre la main dans son slip, mais j’ai le privilège de toucher ses seins et les mettre hors du haut du maillot. La demoiselle avait une très belle poitrine. Ni trop petit, ni trop gros, mais qui tenaient déjà bien dans les mains. Ils étaient tout juste assez gros pour balader mon sexe entre eux. Ses tétons étaient roses et dressés comme des « i ». Après une bonne heure de caresses et de baisers, je la raccompagne près de sa mère, sous ce ciel rose/orangé synonyme de soleil couchant…
Nous voilà plus familier et nous avons aussi pris le temps de nous connaître. Je décide de lui faire découvrir un endroit discret, loin des centaines de personnes sur cette plage. L’endroit est éloigné, à l’autre bout de la ville mais plus près de chez moi. C’est là que je commence à devenir moins brute, plus doux avec elle. Et c’est comme par magie qu’elle laisse mes mains se balader partout sur elle. Nous voilà au crépuscule, suite à un après-midi de rigolade, de baignade et de moments tendres, nous devenons plus intimes. Je lui faisais sucer mon index et à mon grand étonnement, j’éprouvais un grand plaisir. Je lui léchais les lèvres, lui suçais ses beaux seins. Elle, elle avait sa main dans mon short et l’autre sur mes tétons. Elle savait être coquine et c’est bien la première fois que je prenais le temps de découvrir une demoiselle. Dans toute cette chaleur, je lui mis un doigt, elle gémit un petit peu et me susurra à l’oreille de continuer. Qu’elle était humide, quel contraste, une telle chaleur alors que son corps tout juste sorti de l’eau est encore frais. Mais le soir commençait à tomber, nous n’irons pas plus loin et je la raccompagne…
Veille de son départ, en ce jour, nous allons au même endroit. Je lui propose d’aller à la piscine tout en lui disant qu’on pourrait se faire virer d’un moment à l’autre. C’était amusant de se coller, se caresser, s’embrasser dans cette piscine avec du monde autour et de se dire qu’à n’importe quel moment, on va nous mettre à la porte. C’est alors que pendant un de nos baisers, je lui demande s’il était vierge. Elle me dit oui. A ce moment là, je dissimulais mon sourire mais ne savait pas comment demander ce que j’avais en tête. En hésitant un peu, je lui demande franchement si elle ne voulait pas qu’on le fasse ensemble. Elle répondit oui, sans hésiter. Mais le problème qui se posait à moi était le lieu. Je ne pouvais pas ramener une fille comme ça à la maison, nous étions dans un lieu fréquenté et il faisait encore jour. Finalement, je mis cette idée de côté pour passer mon dernier après-midi avec la demoiselle de la manière la plus agréable possible. 18 heures, le soleil est couchant, je propose de la ramener. Le pas est lent, mine de rien, même s’il s’agissait d’une aventure de vacances, elle allait me manquer. Et puis sur un coup de tête, je lui montre un buisson, mais dans l’hôtel juste à côté. Il n’y a personne, elle installe sa serviette et je m’allonge. Elle vient sur moi, commence à m’embrasser, me masturbe, puis elle baisse son jean et son slip, et nous faisons l’amour entre deux buissons! Elle avait le sexe étroit, je devais souffrir autant qu’elle, si ce n’est plus, mais devenant humide, je glissais de mieux en mieux en elle, son sexe devenant un délice. Mais les femmes de ménages commençaient à circuler et passaient à même pas 10 mètres de nous. Que faire, s’arrêter en plein milieu ? Ou continuer avec le risque de se faire prendre ?… La question ne s’est jamais posé, elle continuait de me chevaucher, doucement et dès qu’un bruit de pas se faisait entendre, elle s’allongeait sur moi. Nous avons fait l’amour exposé ainsi une vingtaine de minute tout de même, avec les gens qui circulaient, parlaient sans se douter de quoi que ce soit. Après ces premiers ébats en public (pour une première, ce n’est pas mal), nous nous sommes rhabillés, nous avons discutés un peu, chose qui n’arrivait pas au début et pour la dernière fois de ces vacances, je la ramenais auprès de sa mère.
Ce fut ma première fois en public, l’excitation et la peur de se faire prendre forment un cocktail décuplant l’envie et pour sa première fois, je ne voulais pas que ce soit un raté comme la mienne. Elle m’avouera qu’elle gardait cela comme un très beau souvenir, tant au niveau du plaisir que de l’insouciance dont nous avons fait preuve…
Par Rendan pour http://www.forum-hard.com/sexe/forum67/topic20602.html