Il y’a quelque temps mon copain m’avait fait un reproche il me disait que je lui demandait de me prendre en photo pas pour lui faire plaisir, mais juste pour
faire plaisir à mes amis sur internet. Évidemment j’était pas d’accord et il m’avait demander si je serait prête à m’exibée nue juste pour lui ou ses amis.
J’ai dit que je l’avait déjas fait souvent et que je ne lui refusait que rarement quelques choses.

j’ai fini par oublier un peu cette conversation, mais pas lui! récemment je lui parlait que j’aurai aimé être mannequin pour des catalogue de vêtement style « sears » etc… Pour posé en maillot ou avec des bas collant ce genre de truc. Les femmes sur c’est photos sont belles, mais pas mégrichonne comme les mannequins de la mode. Bref! Là sa commence a devenir ennuyeux ce que je vous écrit et vous, vous demander ou je veut en venir… Mais j’y arrive.

Dimanche mon copain m’appelle de sont travail pour me dire qu’il ne travaillera pas cette après midi, et il me demande de le rejoindre pour décider ensuite ce qu’on fait. Quand j’entre dans le batiment, avec l’air climatisé au max, ça me fait un sacrée contraste avec le dehor, je portait une blouse légère et comme j’ai de petit seins je ne met pas toujours de soutien gorge. Mon copain m’attrape par la taille pour m’embrasser et quand ma poitrine se retrouve contre sont torse il me dit « ta froid ou tes contente de me voir? ».
Normalement j’aurait trouver ça drôle, mais le hic! C’est qu’un monsieur que je ne connaissait pas du tout était là! J’était donc plutôt gênée. Mon copain me présente monsieur ont vas dire « P » qui travaille pour ont vas dire « W », mon copain avait été à la petite école avec monsieur P et avait repris contacte sur internet. Monsieur P pouvait parler de moi pour que je puisse passer un « cast » pour être mannequin pour le catalogue « W ».
J’était pas mal contente, mais là de nouveau la gêne quand mon copain explique à P que j’ai une superbe chute de rein en bikini et qu’aucun photographe ne peut résister à ça. P répond un truc du genre « oui, oui j’en suis sur ». Et là mon coeur arrête de battre quand mon copain dit à P « tu veut voir? ». Et là il me dit « poupée tu veut enlever ton jean et ta blouse ». Devant mon silence il ajoute « sous-vêtement ou bikni ça change pas grand chose ».
P voyant mon malaise, dit « c’est pas obliger! ». Mon copain répond « que ça ne me dérange pas de me déshabillée devant ses amis si ça lui fait plaisir. » Zut! Moi et ma grande g. Je lui murmure à l’oreille « j’ai rien sous ma blouse! ». Il me dit « pas grave tourne toi pour l’enlever et met tes bras sur ta poitrine ». Même
si je suis très gênée je commence, a défaire les boutons de ma blouse en me retournant dos à eux, ne me demander pas l’expression qu’avait P je n’était pas
capable de le regarder.
Là avec les bras sur ma poitrine nue, je me rend compte que ça aurait été plus intélligent d’enlever mon jeans en premier, j’enlève mes sandales en sortant simplement mes pieds pas besoin de mains. Mon copain me dit « je vais t’enlever le jeans ». Il détache le bouton et fait glisser le « zipper ». Quand il descend mon pantalon l’arrière de ma petite culotte descend aussi un peu en même temps, je m’apprête a la replacer mais mon copain me dit « ne touche à rien, je m’en occupe ».

Mais il ne la remonte pas au contraire il la redescend d’avantage, je me retrouve donc pratiquemment fesse nue, la cullote a dans l’opération baissée un peu aussi en avant, dévoilant un peu mon « mont vénus ». Monsieur P en profite pour ce rincer l’oeil, il m’examine en tournant autour de moi. Il prend même quelques photos avec sont cellullaire. Il finit par dire à mon copain, ouin elle est pas mal du tout ta blonde, tu dois pas t’ennuyer.

J’ai déjas été nue devant des gens pendant des parties de poker, des séances de photos etc… Mais cette fois je n’avait pas eu le temps du tout de m’y préparer et je ne connaissait pas ce type, je le voyait pour la première fois. La gêne et l’air climatisé me frigorifiait autent le corps que l’esprit. J’avait l’étrange impression que j’était dans un rêve ou que ça ne m’arrivait pas là réellement en ce moment. Mon copain me ramène à la réaliter en me disant « tes cheveux cache trop ton dos ». Je lui demande « veut tu me les attacher? ». Il me dit « non je préfère que tu les remontes avec tes mains ».

Je ne peut pas être plus gênée que je ne le suis déjas, alors pourquoi le décevoir? Je le fait, je relève mes cheveux avec mes mains, laissant ainsi mes seins nues. Il me dit « parfait ne bouge plus ». Il s’aproche derrière moi, je regarde mes pieds, je suis trop gênée pour remonter le tête. D’un geste très habile et rapide il glisse sa main dans le devant de ma culotte entre mes cuisses. Sa main est glacée et moi même quand j’ai très froid ma chatte est
toujours chaude, la surprise et le froid me font lachée un petit cris.

C’est la premère fois qu’il me fait quelque chose d’aussi intime, alors qu’on est pas seule. Il me murmure « tu viens de te rasée c’est parfaitement lisse comme j’aime ». Et sans me demander mon avis il m’enlève ma cullotte, je la vois glisser sur mes jambes et tomber à mes pieds. Il me demande de prendre des poses comme si c’était une session photos, je l’ai fait mais je suis certaine que je devait être pas mal raide et crispée. Au bout d’une vingtaine de minutes, les gars semblait satisfait.

Mon copain me dit, « Moi et monsieur P, ont doit parler pour une vente d’ordinateurs, vas à la salle de réunion nous chercher du café, ont est dimanche il n’y à personne ». Je viens pour ramasser mes vêtements mais il me dit « non, non reste comme ça s.t.p! À moins que tu est trop froid? ». Je répond « non ça vas ». J’était frigorifiée et très mal à l’aise, mais je suis incapable de ne pas lui faire plaisir. À la salle de réunion il y’a une grande baie vitrée et je pouvait voir des gars prendre une bière dehor sur leurs terrasses, je me disait que si je les voyait il me voyait aussi. Mais j’ai fait semblant de ne pas les voir en espérant que
si je les rencontrait dans des circonstances normale, qu’ils ne me reconnaitrait pas.

Une fois les cafés apporter comme la bonne secretaire nue que j’était. Mon copain me dit « ont à presque finie après monsieur P repart et ont verra ce que tu a envie de faire, en attendant tu peut tétendre sur le sofa du bureau ». Je me suis allonger sur le sofa en restant nue sans qu’il le demande, je sais qu’il adore me voir l’attendre coucher toute nue. L’attente environs 30 minutes ma parue longue, un sofa de cuir quand ont a froid c’est pas super confortable. Et en plus j’avait de plus en plus le sentiment d’être plus un animal de compagnie qu’autre chose.
Quand monsieur P est finalement partie, mon copain tout en restant assis dans sont fauteil ma fait signe de venir le rejoindre en fesant un bruit de bouche qu’ont utilise habituellement pour appeller un chat. Voyant toute suite que je n’avait pas envie de faire semblant d’être une chatte il a ajouter « aller ma beautée désespérée viens ici! ». J’ai été le rejoindre avec un air un peu boudeuse, la plaisenterie durait depuis trop longtemps à mon goût.

Il ma fait m’assoir sur sont bureau et a commencer à m’embrasser dans le cou, en carressant mes seins et mes cuisses. Mais quand il a voulu glisser sa mains entre mes cuisses j’ai d’instinct serrée les jambes. Je savait qu’il voulait faire l’amour et je voulait bien, mais je me sentait humiliée et ça me bloquait. Sans dire un mot il ma embrassée langoureusement et ensuite ses baissée ont descendu sur mes seins, il les léchait et les mordillait c’était atrocement bon.

Il ma dit « ne sois pas fachée ». Comment rester fachée? J’en suis incapable. Il ma fait coucher sur le dos, et j’ai pliée mes jambes et écartée les cuisses. Il ma d’abord embrasser le ventre et ses baisées ont glisser sur mon vagin et mon clitoris, entre la douceur de ses lèvres et de sa langue et les brefs pincement sec de ses dents sur mon clitoris, j’ai rapidement eu un orgasme et j’avait pas mal moins froid. Je fesait attention à ne pas trop faire de bruit, même si ont était dimanche j’avait peur que quelqu’un m’entende dans d’autres bureau.
Mon orgasme à peine terminer, il me pénétre de façon très virile. Un vrai coup de butoir, mais comme j’était très mouillée ça ne fesait pas mal au contraire. J’adore être pénétrée après un orgasme, c’est comme si tout mon corps était ultra sensible pas juste mon vagin mais aussi mes seins, mon ventres, mes cuisses tout! Après plusieurs minutes il s’assoit dans sont fauteuil, sont membre encore très très viril. Pas besoin de me demander je sais ce que je dois faire.

Je m’agenouille devant lui et je met sont pénis dans ma bouche, j’essai de faire le plus de succions possible en fesant très attention à ce qu’il ne sente pas mes dents. Quelques secondes et boum! Ça m’explose dans la bouche, j’essai de tout avaler comme il aime. C’est extrêmement salée et je me demande parfois si c’est pas mauvais pour mes reins? Il me ramène encore à la réaliter en me disant « ont fait une pause, en attendant penche toi sur le bureau et écarte les jambes ».

Je le fait sans hésiter même si je sais que la suite vas moi me plaire. Comme je m’en doutait au bout de quelques minutes, il enlève sa ceinture et la replie en deux. Je lui dit ce qu’il adore m’entendre dire « j’ai fait tout ce que tu voulait pourquoi une punition? ». Évidemment tout ça dit sur un ton de princesse en détresse. Les fessées ne sont pas désagréable quand les coups ne sont pas trop fort, un léger pincement ça m’excite et ça ne fait pas vraiment mal.

Mon copain fait attention pour ne pas frapper fort, mais quand tu reçois d’afillée 20 ou 30 coups, c’est comme cummulatif et même si c’est pas fort ça finie par devenir vraiment pas agréable. Il sait ce que je pense et il me dit « une dizaine de petit coup pas plus ». En signe d’accord je me penche un peu plus par en avant! Les trois ou quatres premiers coups ne font que pincée et j’ai des frissons pas désagréable dans tout le corps. Mais les suivant sont de plus en plus fort, mais je ne me plaint pas en me disant que c’est juste 10 c’est presque finie, je les comptes et le onzième me surprend et me fait montée les larmes au yeux.

Après le douzièmes je peut pas m’empêcher de lui demander d’arrêter. Il ce rend tout de suite compte qu’il a été trop fort et il s’excuse, il me dit même que j’ai de bonnes marque sur les fesses. Comme si je savait pas! Je les ai senties! Il détache sont pantalons et me pénétre de nouveau vaginalement mais cette fois si tendrement. Il me dit « c’est presque terminer, je vais faire attention d’accord ». Je sais ce qu’il veut, j’ai pas trop envie, mais je savait que j’y aurait droit.
Il aime bien, me sodomisée de temps en temps. Mais moi j’aime pas trop, ça me fait toujours un peu mal, surtout lorsque ont utilise pas de lubrifiant. Il aime pas les lubrifiants et je suis vraiment trop gentille! « donc je répond d’accord mais doucement ». J’ai à peine terminer ma phrase que je le sens, le pire c’est quand il entre, j’aime vraiment pas. J’ai pas pus m’empêcher de criée mais de douleur pas de plaisir et j’ai même un peu pleurée.
Il a tout de suite arrêter et ma demander ce que j’avait? Si je lui fesait trop mal? J’était bien d’accord non? J’ai dit que tout était ok et que j’avait juste était trop surprise d’y aller encore plus doucement. Je me suis calmé et finalement une fois bien pénétrée les vas et viens n’était pas si désagréable. Même si je préfère de loin une pénétration vaginale! Quand il a eu finie, je me sentait épuisée, j’ai mis mes genoux sur le bureau et je me suis couché dessus sur le ventre de tout mon long pour reprendre mon souffle.
Il a embrassé une larme qui était encore sur ma joue et ma dit « Je ne peut pas m’empêcher de te faire mal, mais je t’aime. quelques chose te ferait un plaisir? Je veut te faire un cadeaux ». J’ai dit « moi aussi je t’aime, j’ai pas besoin de cadeaux pour ça! Tu me fait plus de bien que de mal ». Ont c’est embrassée et je ne me suis jamais sentie autent amoureuse.

Le soir ont est aller au restaurent, une invitation de monsieur P. J’ai été surprise de le voir avec sa femme et deux enfants! Il me regardait comme si de rien n’était. Évidemment nis lui, nis mon copain n’ont parler de ce qui c’était passée. C’est comme si pendant cette après midi je n’avait pas été là. J’ai essayer de faire comme de rien moi aussi, mais les chaises en bois sans coussin du resto me fesait sacrément mal au fesses! Mais ça c’était pas la faute de monsieur P.

Par Kalindra pour http://www.forum-hard.com/sexe/post298888.html#p298888