Ce jour là, je m’étais préparée comme si je partais travailler;
depuis la veille, je ne pensais qu’à la surprise Que je lirais dans ses yeux, ainsi qu’au renflement prometteur que son sexe dessinerait sous son pantalon qui me ferait mouiller instantanément.
Ma peau parfumée, par différents parfums selon l’endrois, J’enfilais une guêpière avec laçage dans le dos, et m’asseyait au bord du lit pour vérifier que mon sexe était glabre et doux au touché, ceci fait, Je ne pouvais nier qu’une moiteur s’emparait de moi, alors que je n’avais pas encore fini mes préparatifs.
Une paire de bas noirs à couture ne l’étonnerait pas, ni les escarpins vernis noir à talons hauts…. Par contre j’enfilais le fourreau de cuir noir descendant juste au dessous des genoux,une jupe de cuit très sage au premier regard ! De dos, la jupe était fermée par un laçage de haut en bas, le cuir était si fin quand me penchant, je vis avec ravissement le dessin que faisaient les porte-jarretelles sous le cuir, et je savais que son désir serait immédiat lorsqu’il l’aurait remarqué.
Un chemisier blanc dont au moins un bouton aurait dut être sagement fermé ( ce qui était hors de question) , mais qui laissait libre cour à un décolleté, dont le balconnet de la guêpière, rendait possible les caresses.
Ce matin, il travaillait à la maison, tout occupé à répondre à des courriels…. J’arrivais avec un café et m’appuyais contre le bureau. Le café posé, la pointe de mon escarpin glissa entre ses jambes sur le bord du siège de son fauteuil, le faisant reculé pour qu’il puisse me voir en entier. Puis me retournais les coudes posés pour lire les documents à côté de l’ordinateur , les reins cambrés, les fesses moulées dans un fourreau de cuir.
Malgré mon désir de surprendre le sien dans son regard, je restais ainsi lui laissant le temps de découvrir le laçage de la jupe, de deviner les jarretelles sous le cuir fin…
Enfin je me retournais, avec un sourire et plantais mon regard dans le siens; Je fut troublée de voir la bosse qui déformait son pantalon, suivant mon regard, il caressa le tissu dans un très lent va- et -vient, qui me couvrit de frissons.
J’était trempée et j’avais une furieuse envie, de voir son sexe en érection…. De m’approcher et de le sucer ( c’était encore beaucoup trop tôt !), sentir son gland chaud et la corolle devenir humide sous ma langue…
Avec un sourire, il attrapa une de mes mains et l’embrassa. puis me dis: – remonte ta jupe jusqu’à ta taille, je veux te voir.
je m’exécutait doucement, quand ce fut fait, avec un sourire il se leva et me dit à l’oreille:
– J’adore quand tu ne mets pas de culotte, et ta chatte épilée me fait bander comme un dingue… assieds toi sur le bureau et pose ton talon sur ce dernier, comme ça je vais me rassoir et pouvoir voir ton intimité mouillée… C’est bien cela, tu es trempée n’est-ce pas ?
-oui, fut ma réponse.
Il se recula, se rassit et ouvrit sa braguette, dégageant son membre et ses testicules, qu »il caressa sans quitter mon regard . J’écartais un peu plus les cuisses lui dévoilant la totalité de mon intimité. De mes doigts je caressais mon mont de vénus, retardant le désir qu’il avait de me voir me masturber…. Mes reins était en feu et mon désir pour lui indicible.
Un de mes doigts glissa enfin, lentement et fit le tour de mon clitoris délicatement; Ses yeux étaient de braise et les mouvements qu’il faisait sur sa queue étaient de plus en plus lents, signe que son excitation allait grandissante.
Les mouvements que je faisais devenais plus rapides, mon souffle plus court… Il se leva, se rapprocha de moi et continua à se caresser de plus en plus prêt de mon visage, puis de mes lèvres, sous l’excitation et le désir je salivais. Il appuya délicatement sur mes épaules, pour que je descende du bureau.
Je me mettais sur les genoux, mes lèvres effleurèrent son gland déjà humide d’excitation , ma langue fit le tour de la corolle turgescente, mes lèvres se refermèrent sur le prépuce le faisant aller et venir sur la corolle puis le gland…. Jusqu’au frein , puis ma bouche gourmande descendit le long de son membre, pour qu’elle devienne un fourreau chaud et humide.
A ce moment là, il me dit caresse-toi en même temps et cambre toi bien….
Le bureau était petit, c’est la raison pour laquelle, trois des murs étaient recouverts de miroir, ce qui faisait que j’accentuais ma cambrure, pour que rien de mon anatomie ne lui échappe. Je prenais ces testicules délicatemant, l’une àprès l’autre dans ma bouche, et les faisais rouler de ma langue… Je sais que cette caresse le rendais » fou » de désir, alors que mon autre main allait et venait sur la hampe de sa queue extrêment doucement, puis plus fermement et rapidement…. J’aimais entendre son souffle devenir plus rauque selon les caresses que je lui produigais.
Délicatement, je me relevais pour m’assoir sur lui, il se méprit sur mes attentions, et me saisit par les hanches, pour que je m’empale sur son membre. Je lui chuchotais au creux de l’oreille: – Non mon coeur, ce n’est pas finit, il te faut attendre un peu !
Je me dégageais de son emprise rapidement, car j’avais tout autant envie de lui, et ne pouvais lui permettre ce qu’il avait en tête.
Je m’assis sur le bureau, tendis les jambes vers lui.
Raproche ton fauteuil, lui dis-je. Ce qu’il fit.
De la pointe des mes escarpins neufs, je caressais son sexe très délicatement, puis allais vers ses testicules, glissant en dessous, sa respiration se faisait de plus en plus courte.
– retire mes souliers s’il te plait. Il s’exécuta, les deux souliers posés, mes pieds revinrent vers le fauteuil gancée par les bas que j’avais mise me préparant. La plante de mes pieds fit un fureau à son sexe, me permettant de faire un va- et -vient délicat, mais assez ferme.
Mon ami adorait les chaussures et les sous vêtements et les caresses avec des bas, je savais parfaitement, que c’était un must pour lui, de plus pour monter et descendre, le long de sa queue, étant assise sur le bureau en face de lui, je devais écarter les jambes pour aller et venir, lui laissant tout loisir de regarder l’effet que produisait l’intensité du moment sur ma chatte. Son regard me disais bien des choses et sa bouche me dis
: – tu es sublime en Garce, mais tu ne paies rien pour attendre.
Il repoussa mes pieds, me remit mes chaussure et ajouta, descends du bureau, retourne-toi les jambes bien écartées.
Il me sussura à l’oreille, ce n’en est pas finit mon chéri.
De ses deux mains, il dégageat mes seins de la giépière et les caressa avec volupté, quand à moi, j’était mouillées car j’avais envie qu’il me prenne et remplisse de tout son membre, . Une de ses mains glissa sous mon ventre pour arriver jusqu’à mon intimité, qu’il se mit à effleurerce qui décuplat mon désir de me faire prendre.
Sa main pleine de cyprine, remonta entre mes fesses.
– tu as un cul à fair bander un …., rebondit et charnu…. j’ai envie de me branler entre tes fesses, mon coeur.
– écates les, pour me montrer combien tu t’offres… Combien tu en as envie !
Ces quelques mots m’arrachèrent un souffle en disant plus que n’importe quel mot.
À plein ventre sur le bureau, j’écartais mes deux lobes. Je sentis aussitôt son sexe se glisser en même temps qu’il retirait mes mains pour se carresser, » refermant » mes fesses selon ses propres désirs.
Je gémissais de désir .
Le sentir glisser contre moi, me faisais plus me cambrer… Le sentir en moi était la seule chose qui m’emportait dorénavant.
– prends-moi, prends-moi , lui dis-je.
IL changea de position et je sentie, enfin son sexe à l’entrée du mien.
il me pénétra millimètre par millimètre se qui empliffia mon désir, tout en me caressant le clitoris… Je devenais pratiquement folle de désir, une envie animale sans retenue…. Mon partenaire le sentit et s’enfonçat en moi d’un seul coup, ce qui m’arrachat un cri de plaisir.
– maintenant je vais te lutiner comme la garce que tu es quand tu veux m’exiter….
Il me fit reculer vers lui, pour mieux attraper mes hanches et me pris puissament, tout en me caressant, puis au bout de quelques instants, me dit: – mets toi le dos à plat sur le bureau.
je m’exécutais. Il se rapprocha de moi écarta ses jambes,mit mes chevilles autour de son coup.et précisa:
– Je veux voir ta chatte quand je te prends, tes seins, sentir mes couilles qui frappe tes fesses, mais surtout tes yeux et ton désir et ton plaisir.
Il me pris sans ménagement, sachant que c’était ce que je désirais tout autant que lui, ses coups de boutoires furent de plus en plus rapides, mon plaisir montait, et je voyais dans ses yeux que le sien était proche, aussi je jouais de mon bassin pour accélérer le va- et- vient.
– petite garce, tu le fais exprès.
– prends ça…
Un râle profond sorti de sa gorge et même temps que mon plaisir montait comme des vagues, m’emportant loin. Nous restâmes un certain temps ainsi.
Je descendais du bureau, Le pris contre moi et lui chuchotais à l’oreille: – BON ANNIVERSAIRE !!!!!
Il tenta de me retenir, mais je filais, le laissant au plairsir de la surprise et récupérer de l’autre plaisir que je savais très intense…. j’avoue; je tremblais sur mes jambes de plaisir et de malice !
Par Vanille * pour http://www.forum-hard.com/sexe/forum67/topic21586.html