Toute la famille était réunie pour le réveillon. Exceptionnellement, mon cousin et sa femme (que j’appelle « ma cousine » et que j’apprécie beaucoup) étaient là eux aussi. Nous en étions arrivés au fromage lorsque le besoin de se dégourdir les jambes se fit sentir. Ma cousine et moi chantions « scions du bois » pour mon jeune filleul. Nos bras croisés et les mains jointes, nous sciions aussi bien que possible lorsque ce que je perdis l’équilibre et se faisant, ma cousine s’est retrouvées les bras croisés sous la poitrine, emprisonnés par mes soins  …

je lui fis remarquer en rigolant à quel point cela lui faisait gonfler les pectoraux. Sans se démonter, elle lança à la cantonade: Et moi si j’appuie là ça gonfle pas ? :  … j’approchais ma bouche de son oreille pour lui lancer ce défi: Chiche !  Elle me souri, m’embrassa doucement sous la joue et sur ce, nous allâmes rejoindre les convives qui avaient repris place autour de la table. Le reste du repas se déroula comme le début jusqu’à l’approche des 12 coups de minuit. Ensuite, tout ne fut plus que champagne, liqueurs et autres alcools supposés faire digérer  Un peu ivre mais lucide, j’étais parmi les derniers à aller me coucher. J’éteignis et m’endormis aussitôt du sommeil du juste.
Combien de temps avais-je dormi, je ne saurai le dire. Je fus réveillé par des frissons dans le dos, une sensation de fraicheur… ce n’est qu’une fois mes esprits retrouvés que je compris que « quelqu’un » me caressait le dos et de temps à autre, déposait un baiser sur ma peau, mélange suave de chaleur et de fraicheur. Je ne bougeais pas, mais je savais que ma compagne du moment savait que j’étais éveillé… j’ai tendance à ronfler et là, je ne ronflais plus du tout. Elle se colla à moi et m’enserra le torse de son bras droit, sa main parcourant mon ventre. Elle approcha sa bouche de mon oreille, en lécha le lobe et me susurra: Alors ? si j’appuie là ? ça fait quoi ? Joignant le geste à la parole, elle enserra mon sexe entre ses doigts fins. Le résultat ne se fit pas attendre et bientot mon sexe se dressa et commença à palpiter sous les légers mouvements de sa main. J’allumais ma lampe de chevet et tournais la tête afin de voir ma cousine… son visage était radieux et son sourire coquin. Je me retournais alors pour la prendre aussi dans mes bras. Passant mes mains dans son dos, je fis remonter sa nuisette en satin afin de dévoiler cette poitrine tant convoitée. Ses seins sont bien ronds, menus et fermes… sous mes doigts ses têtons se mirent à gonfler et je ne pus m’empêcher de les prendre entre mes lèvres délicatement.
Elle passa une jambe entre mes cuisses et se mit en devoir de caresser doucement mon sexe. De mon coté je lui caressais le dos et le haut des fesses. Nous nous embrassâmes sauvagement, plein de fougue dans un « french kiss » enflammé. Elle se redressa sur moi et je pu à loisir caresser son ventre et son pubis légèrement poilu. Elle menait la danse une fois encore, c’est elle qui amenait son clito sur mes doigts et de temps à autre, tout en douceur, je pouvais constater qu’elle lubrifiait parfaitement. A tel point que c’est sans aucune peine, qu’elle fit entrer 2 de mes doigts dans son fourreau accueillant, enserrant tellement mes doigts qu’il m’étaient presque impossible de les bouger… lorsqu’elle estima le moment venu, elle s’empala directement sur mon phallus et se mit à faire des mouvements de va et vient toujours plus rapides… je ne pouvais que lui caresser le ventre et les seins jusqu’à ce qu’elle vienne tout contre moi, accélérant un peu encore les mouvements de son bassin. Je pensais ne plus pouvoir tenir longtemps lorsqu’elle fit mon sexe pour venir tout contre moi. Je l’embrassais alors partout sur le visage, le cou, ses seins, son ventre, elle vint s’asseoir sur mon visage pour que je lui lèche le clito… je fis plus que cela, je le titillais, je le suçais, l’aspirait entre mes lèvres… ses ondulations du bassin faisaient que de temps à autre, je pouvais me désaltérer de ses sécretions, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle pose son anus sur ma bouche… je le léchais tendrement, lubrifiait mon index et mon majeur que je posais sur son petit trou afin d’y déposer le lubrifiant naturel. C’est d’elle même qu’elle fit entrer les 2 doigts que je présentais à sa petite rose…. ils disparurent dans cet étau chaud un long moment. Mais cela ne semblait pas lui suffire, elle posa son anus sur mon gland et le fit entrer délicatement d’une seule traite.
Elle commença alors un infernal mouvement du bassin et au bout de quelques va et vient je ne pus retenir les jets de ma semence qu’elle garda en elle. Ensuite, elle se mit tout contre moi, et nous nous embrassâmes encore une fois plein de tendresse et de douceur. Je savais qu’elle n’avait pas joui et il n’était pas question que j’en reste là. De nouveau, j’embrassais son visage, son cou et je partis à l’assaut de son mont de vénus, pour finir par poser mes lèvres sur ses lèvres intimes, douces et gonflées de désir. Son clito était là, frétillant lui aussi, je l’agaçais sans hâte, l’aspirait, le relâchais, l’abandonnait pour poser ma langue à l’entrée de sa grotte. Je fis entrer 2 doigts de ma droite, mais très vite 2 autres suivirent. Tandis que de ma main gauche, je forçais à nouveau le passage de son anus avec 2 doigts, j’alternais les mouvements et ma langue s’emparait régulièrement de son clito… Elle fini par jouir étouffant son cri dans l’oreiller, ses spasmes me secouant le visage et ses jambes m’enserrant la tête dans des « crampes » incontrolées… A bout de souffle, nous restâmes ainsi un long moment à nous échanger baisers et caresses du bout des doigts. Il a malheureusement fallu qu’elle rejoigne son époux avant qu’il ne se réveille…
Voilà, l’année débute d’une bien belle façon pour moi… je savais que 2012 me réserverait des surprises mais celle là je n’y pensais absolument pas…

Par internaute  pour http://www.forum-hard.com/sexe/viewtopic.php?f=67&t=21759