C’était une belle après-midi de printemps, Zackette et moi étions parti faire une petite escapade shopping en terre vosgienne.
On était en vacances, en pleine semaine, pendant que tout le monde travaillait à parcourir les divers magasins.
Je faisais plaisir à Zackette, lui achetant chaussures et vêtements.
Quand dans l’un des magasins suivants, en plus d’un t-shirt, Zackette repéra un maillot de bain bleue corail qui pourrait parfaitement épouser sa poitrine généreuse pour cet été.
Ni une, ni deux, on se dirigea vers les cabines d’essayages, lui faisant remarquer que le magasin est particulièrement vide de monde… juste deux vendeurs pour une surface de plus de 100 mètres carrées.

On interpelle une vendeuse qui nous dit qu’on peut y aller.
Zackette prend une pancarte avec un gros « 2 articles » pour la postérité.
Zackette me dit de m’assoir sur le tabouret de la cabine, elle ferme le rideau, et commence à se déshabiller pour essayer le fameux maillot.
Je la regardais depuis le bas, c’est toujours surprenant cette vue pour moi, comme voire ses seins se contrebalancer qu’elle ote son haut.
Soudain je me lève d’un train, elle me demande ce qu’il y a, je lui dis : « il n’y a pas de caméra… »
A quoi elle me répond : « Et alors ? »
Ce à quoi suivi ma réponse rapide : « Tu l’as jamais fait dans une cabine ? »
Elle me répondit : « Non et c’est parti, je ne refuse rien à mon mari ! »
Comme quoi le mariage a du bon.
Elle dégrafa ma ceinture, et commençait de rapides va et vient de ses lèvres pulpeuses, rabattait de long en large sa langue, me regardant fixement.
« Mets la moi » me susurra-t-elle tout en me mordillant le lobe de l’oreille.
Elle me tourna le dos, la joue collée sur la paroi de la cabine d’essayage, levant légèrement une de ces jambes, surélevant l’une de ces fesses.
J’écartais juste sa « ficelle » et je m’enfonçais d’un coup sec en elle, glissant ma main son soutien gorge en dentelle noire, libérant un de ces tétons, pour délicatement pouvoir effleurer du bout de mes doigts.
Je continuais à la pénétrer, accompagnant le geste de tout mon corps, j’apposais mon doigt sur sa bouche pour lui indiquer  qu’on entendait nos corps s’entrechoquer sur ces cloisons en plastique.
Je lui massais alors le clitoris. Elle était trempée.
Je sentais et portais à mes lèvres mes doigts pour me délecter de ce nectar de plaisir.
Donc un de mes doigts entre ses dents pour atténuer le bruit, l’autre main sur son clitoris pour augmenter son plaisir, j’étais à ce moment le DJ de cette symphonie de plaisir… Zackette ayant encore le bas du maillot de bain serré dans son poing.
On entend des conversations, des pas, d’autres visiteurs arrivent vers les cabines d’essayages.
Pour éviter d’éventuels ennuis on se rhabille..
Au moment où l’on sort de la cabine, la vendeuse nous dit  » Ca, c’est une odeur que j’aime bien ! »
Zackette lui rend le maillot même pas essayé et garde le t-shirt….
A la caisse, Zackette me pose un baiser sur la joue tout sourire, et moi, réglant son t-shirt avec ma carte de bleue… les mains encore humide de cyprine…

Par Zacksexo pour forum-hard.com