Voici donc l’histoire de Anne. C’est un récit très long mais en plusieurs épisodes. Si celui-ci vous plait je continuerai régulièrement à l’alimenter. Il rassemble un peu l’ensemble de mes fantasmes.
Bonne lecture à tous et j’attends vos retours
Je regarde ma montre une énième fois au cours de cette journée qui n’en finie pas. Je ne suis absolument pas à ce que je fais. Je n’ai qu’une idée en tête, c’est partir en vacances avec mon chéri. Les premières depuis que nous sommes ensemble. Cela fait presque trois ans. Il s’appelle Tony, a 32 ans, et est commercial dans une concession d’automobile de luxe. C’est un grand brun ténébreux avec des origines italiennes. J’en suis folle amoureuse.
En fait, cela fait dix ans que nous nous connaissons. Je l’ai connu alors que je n’étais que stagiaire dans la concession auto où il travaillait à l’époque. Je crois que je lui ai tapé dans l’œil immédiatement car il n’arrêtait pas de me regarder. Je dois dire qu’il ne mettait pas indifférent non plus, toujours bien habillé avec ses costumes italiens, sa petite barbe de trois jours toujours bien taillé et son regard noir légèrement ensorcelant. Mais je devais l’impressionner car il paraissait très timide avec moi, ce qu’il n’était pas avec d’autres personnes. On ne faisait donc que parler et juste des banalités. De toute façon, nous étions en couple chacun de notre coté. Mon premier stage se termina et on en resta là.
L’année suivante, je revins en stage et je retrouvai Tony. Cette fois, il fût nettement moins timide. Au début nous échangeâmes par mail des banalités, puis il testa mes réactions en m’envoyant des messages de moins en moins équivoque. Cela m’amusa et je rentrai dans son jeu. Nos échanges étaient de plus en plus chaud. Nous nous racontâmes absolument toute notre vie sexuelle dans les moindres détails. On se baladait pendant nos poses déjeuner continuant à nous raconter nos vies de couples respectives. Ce qu’il me racontait me faisait régulièrement mouiller. Et du coup, le soir, c’était mon copain qui était content car il fallait que j’évacue le trop plein d’excitation. Mon stage se termina mais nous restâmes encore un peu en contact jusqu’à ce qu’il change de concession et que de mon coté je déménage pour mes études et que nous ayons trop de boulot.
Mais je vous raconte ma vie, et je me rends compte que je ne me suis même pas présentée. C’est impardonnable. Je m’appelle Anne, j’ai aujourd’hui 28 ans. Je suis brune, cheveux longs, yeux vert. J’ai une silhouette plutôt fine je dirais. Ce n’est pas facile de se décrire soit même. On se voit toujours moins bien ou mieux que comment les autres vous voient. Pour vous faire une idée, je mesure 1,70m, 53 kg, je dois faire du 85c ou du 90b (cela dépend des marques) et j’ai les fesses légèrement rebondies.
Après mes études à Lyon terminées et deux jobs qui furent des échecs, je déménageai sur Paris. Je trouvai rapidement un travail de secrétaire de direction dans un grand groupe de concessions de voitures de luxes. Je m’éclatai vraiment dans mon nouveau job. Le directeur général me considéra immédiatement plus comme son bras droit que comme une simple secrétaire. En fait, peu de temps après mon arrivée, il était tombé malade et j’avais été amenée à prendre d’importantes décisions à sa place et qui se révélèrent judicieuses. Depuis, il me demandait régulièrement mon avis et en tenait compte assez souvent.
Un jour, il m’informa qu’il venait de recruter un nouveau vendeur pour la concession Aston Martin et qu’il était plutôt fier de lui de l’avoir débaucher de chez son principal concurrent car c’était son meilleur vendeur. Quand je découvris son nom, mon cœur loupa un voir deux battements. C’était Tony. Cela faisait maintenant 5 ans que je ne l’avais pas vu et presque plus eu de nouvelles sauf ses vœux à nouvelle an.
Cela faisait une semaine qu’il avait pris ses fonctions. Cela faisait une semaine que je n’arrêtais pas de me remémorer nos discussions plus que torrides. Cela faisait une semaine que mes petites culottes ne se déshumidifiaient pas.
Il fallait que je reprenne contact avec lui mais je ne savais pas comment il allait réagir. Le plus simple était d’essayer.
J’ouvris Communicator (MSN Pro), cherchai son nom, et lançai la conversation :
– Bonjour Monsieur R. Juste un petit mot pour vous souhaiter la bienvenue au sein de notre équipe.
– Bonjour et je vous remer…. Anne ????
– Et oui c’est moi !!! Surpris ?
– Carrément oui ! C’est dingue qu’on se retrouve après si longtemps dans le même contexte où on s’est connu.
– Comme quoi le monde est vraiment petit
On discuta alors pendant un long moment de ce qu’il s’était passé ces cinq dernières années. Je lui avouai que j’étais célibataire.
– ah ouais c’est con ça me dit-il. Ca fait combien de temps ?
– 6 semaines !!
– ouhla !! Te connaissant tu dois être grave en manque LOL
– On va dire que cela commence à faire un peu long mais ça va encore pour le moment.
– tu sais qu’au cas ou je suis toujours là pour rendre service . Surtout qu’on est célibataire les deux cette fois.
– Toujours aussi serviable à ce que je vois. Je garde ta proposition sous le coude.
– Ok. Tiens comme ça fait longtemps, ça te dit pas qu’on aille manger un morceau samedi midi ?
– Pourquoi pas ?! Ca serait sympa en effet.
– On se retrouve où ? Quel resto ?
– Pourquoi pas chez moi ?
– Euh… Oui… T’es sur ?
– Tout à fait sur ! Je te ferai un bon petit plat et on se racontera notre vie comme au bon vieux temps. Et on profitera de ma terrasse vu qu’ils annoncent de grosse chaleur.
– Ok et moi j’amène le champ !
– Amène en deux !
– Euh… ok
– A demain Mister X !!
– Punaise tu te souviens de mon surnom ?
– Je n’ai absolument rien oublié
– Et bien à demain.
– Bisouxxx
Et là, en pensant à samedi et à ce qu’il pourrait peut être se passer, ma concentration fut nettement moins bonne.
La suite racontée par Tony:
Le lendemain un chouia anxieux quand même je me présente chez elle. Je porte un pantalon léger une chemise et un boxer.
Il faisait une chaleur étouffante et humide.
Je sonne à sa porte. Elle vient m’ouvrir et là je me prend une claque.
Je vois une superbe fille cheveux mi-long, elle porte un mini short et un petit top bordeaux qui mettent ces formes en valeur. Je sens mon sexe réagir.
On se fait la bise. Qu’est ce qu’elle sent bon!!!!
Elle me fait rentrer, me fait visiter son appart splendide. En la suivant dans les escaliers je ne peux m’empêcher de matter son magnifique postérieur. Je me demande ce qu’elle porte en dessous ?
On redescend
– Bon, on se l’ouvre cette bouteille de champ, j’ai soif, me dit elle.
– Ok faisons péter la roteuse !!
On s’installe à l’ombre sur sa terrase mais la chaleur se fait toujours bien sentir.
Je lui verse une coupe. On s’assoit l’un en face de l’autre. Elle me parle mais je ne l’écoute pas. Je ne fais qu’admirer son corps. Et forcément le mien réagit de plus en plus.
Elle nous ressert une deuxième coupe. Puis s’en ressert une troisième.
Avec cette chaleur et l’alcool, de fine goutte de sueur apparaissent sur son front et entre ses seins.
Ses tétons pointent à travers son petit haut.
Elle me raconte ses expériences sexuelles avec son ex, comme au bon vieux temps : dans une cabine d’essayage, dans un jacuzzi, dans la piscine, dans le garage de ses beaux parents.
J’en peux plus, je bande comme un malade. Une grosse bosse apparaît que j’essaie de dissimuler bien maladroitement.
Et la elle me sort :
– Arrête de cacher cette bosse, je ne peux pas en profiter, me dit-elle d’un air coquin.
– Euhhhhh…..
– Ben quoi tu crois que je ne me suis aperçue de rien !! T’arrêtes pas de baver sur moi depuis tout à l’heure.
D’ailleurs tu ne m’es pas indifférent non plus, comme tu ne l’étais pas à l’époque de notre rencontre..
Elle se ressert un quatrième verre.
– Punaise tu vas être bourrée !
– T’inquiète !! Il m’en faut plus que ça, j’aime l’effet qu’à l’alcool sur moi. Je te plaîs ?
– Il faudrait être fou ou homo pour ne pas dire le contraire et cette bosse te le prouve.
– Hummm en effet. Mais enlève ta chemise tu dois avoir trop chaud.
– T’as pas tord !
– Non attend je vais t’aider
Elle pose son verre sur la table et se lève. Son haut est trempé de sueur.
Elle s’approche de moi, me fait me lever, caresse mon torse à travers la chemise, commence à déboutonner ma chemise.
Elle l’écarte, la fais passer par dessus mes épaules. Elle me regarde dans les yeux.
– T’es pas mal en fait. Ton torse me rend toute chose. J’aime passer mes mains sur un torse viril comme le tien.
Elle se colle contre moi. Je sens son mont de venus se frotter contre mon membre bien raide et bien serré dans mon boxer. Ses seins contre ma poitrine me font chavirer.
– Mais dis moi tu as l’air bien à l’étroit là dedans !!
J’avais jamais vu ce regard plein d’envie et d’excitation chez elle.
Elle passe la main sur la bosse.
– Hummm bel engin apparemment dis moi. Voyons voir ça de plus près.
Tout en me regardant dans les yeux, elle déboutonne mon jean, passe la main à l’intérieur. Je la vois passer sa langue sur ces lèvres.
– je pense qu’on va bien s’amuser tous les deux Mister X. Ta queue me fait mouiller.
Elle baisse mon jean, je lui enlève son haut. Ses tétons sont tendus, ses petits seins sont magnifiques, à faire bander un mort.
Elle se baisse, caresse ma queue à travers le boxer. Son regard pisse d’envie. Elle baisse le boxer. Enfin !!! Mon sexe bandé lui saute à la figure.
– Hummm mais dis donc tu caches bien ton jeu mon cochon. Quel belle queue tu as.
Et elle commence à me branler. Doucement, elle s’approche, je sens son souffle chaud sur ma queue. Sa langue vient lécher mon gland. Un frisson me parcoure. Puis sa bouche toute entière fond sur mon gland. Je sens sa langue en faire le tour. Une main me caresse le sexe pendant que l’autre me caresse les bijoux de famille.
Sa langue est redoutable. Sa bouche enserre entièrement ma queue. Ses va et vient me rendent dingue. Elle la ressort. Sa langue descend le long du frein puis remonte puis redescend, me lèche, me gobe les boules.
Je n’en peux plus. Elle m’excite de trop.
Je la relève, la met assise sur le bord de la table
Je caresse ses seins, pince ses tétons. Ma langue vient les titiller, les lécher, les mordiller, les pincer avec les lèvres tout en léchant le bout avec ma langue.
Son corps et recouvert d’une fine pellicule de sueur. Sa respiration s’accélère. Je descend sur son ventre. Retire son mini short et découvre la réponse à ma question : elle ne portait rien dessous. Je découvre alors un magnifique abricot tout lisse et bien juteux.
Elle écarte les cuisses et me dit : fais moi ronronner, j’ai envie de sentir ta langue de gros chat
Ma langue s’approche de ses lèvres, mes doigts les écartent délicatement. Sa petite fente est trempée, son bouton tout excité dardait. Ma langue le titille, en fait le tour, l’excite encore plus.
– Hummm c’est bonnn
Ma langue descend dans sa petite fente. Elle mouille comme une dingue.
J’introduis un premier doigt et fais de petit va et vient. Je continue de la lécher. Je mets un deuxième doigts. Son corps vient à ma rencontre. Mes va et vient deviennent plus rapides. Ses gémissements m’excitent encore plus.
– oh…ouiiiiii. Continuuuuuu
Ma langue s’immisce plus bas, je ne sais pas quel sera sa réaction.
Apparemment bien car elle soulève ses fesses et les écarte avec ses mains. Je lui lèche son petit anneau, remonte sur son puit d’amour, redescend. Je lui mets deux doigts dans sa fente trempée et deux dans son petit trou.
Je commence mes vas et vient, son corps vient à mon encontre. Elle se caresse les seins, se pince les tétons avec une main et se caresse le clito avec l’autre. J’adore la voir se donner du plaisir.
– aaaaaaahhhh tu me rend folle, je veux sentir ta queue dans mon ventre, vas y prend moiiiiiii
Je me relève et la retourne, les coudes sur la table, son cul tendu vers moi
– tu l’aimes mon cul, gros cochon, vas y prend le…
Je présente ma queue à l’entrée de son petit trou, j’y vais doucement, mon gland pénétre et c’est elle qui recule d’un coup
– Aaaaaaaaaaahhhhhhh
Vas y défonce moi avec ta grosse queue
Et je commence à lui limer son petit cul, mes boules viennent taper contre sa chatte. Elle se doigte avec une main.
Mes vas et vient son de plus en plus rapide.
– je veux te sentir dans mon ventre. Viennnns !!!
Je la retourne, l’allonge sur la table et mets ses jambes sur mes épaules et la pénétre d’une traite.
Et mon instinct animal est plus fort que moi. Je la défonce totalement.
– t’aimes ça un petite salope !!!
– oooooooohhhhhh ouiiiiiiiii vas yyyyyy !!!!
Et en un dernier coup de rein, nous jouissons ensemble l’un dans l’autre et je m’écroule sur elle, haletant et couvert de sueur.
Nous restons ainsi le temps que l’excitation redescente puis me retire. Je la relève, la prends par la taille, l’enlace et l’embrasse d’un tendre baisé.
– Je rêvais de ce moment depuis des années….
– Alors pourquoi ne pas le prolonger en faisant un bout de chemin ensemble ? me demande-t-elle.
Je lui fis mon plus beau sourire et l’embrassa à nouveau.
Par Desmo67 pour forum-hard