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14 février, 2014

hISTOIRE DE FANTASME

J’avais environ 22 ans lorsque j’ai connu une femme plus âgé que moi, nous avions environ une quinzaine d’années de différence.

Aussi bien elle que moi avions des envies sexuelles importantes et violentes et lorsque cela nous prenaient, ou que ce soit, il était nécessaire que nous évacuions rapidement ce besoin impérieux de sexe et de jouissance.

Lorsque je me rendais chez elle, nous avions des relations sexuelle de toutes sortes sans tabou ni retenue et cela pouvait durée des heures tout de même entrecoupé de poses réparatrices.

Un jour, elle me demanda de venir la chercher à son travail.

Mon amie, était propriétaire d’un pressing.

Il était  19h lorsque j’entrais dans le magasin. Elle était en train de repasser avec une des machines de l’atelier, une presse de repassage, matériel important qui dégagé de grande quantité de vapeur à chaque utilisation.

« Ferme la porte à clef et tire le rideau » me dit-elle, « il faut que je finisse ce que je suis en train de faire ».

Après m’être exécuté je m’approchais d’elle par derrière pour l’embrasser dans le cou et j’en profitais pour plaquer mes mains contre ses seins qu’elle avait volumineux et fermes.

Elle continua son travail sur la presse comme si de rien n’était et je senti un début d’érection parcourir ma verge. Je m’approchais encore plus et m’appuyais contre ses fesses, ma raideur bien au milieu de ses deux rondeurs qu’elle avait magnifique.

Plus je m’excitais contre elle et plus elle utilisais la presse à repasser dans des chuintements de vapeur et différents bruits d’aspiration, de soufflerie et de fermeture sous pressions des plateaux servant au repassage.

La voir utiliser cette machine et la chaleur moite de l’atmosphère dû aux dégagements de vapeur de la machine redoublèrent mon excitation et je fis remonté sa jupe au niveau de sa taille. Elle ne portait pas de culotte et je m’aperçus que sa chatte était trempée d’excitation. Elle se retourna et me prenant par les épaules, me fit pivoté sur moi-même.
Je me retrouvais appuyer contre la presse.

Elle posa sa mains sur la braguette de mon pantalon déformée par la raideur de ma verge, puis ouvrant la fermeture éclair, elle en sortie mon sexe. Ses mains chaudes dus au repassage sur la presse commencèrent à me masturber lentement.

De son pieds, elle approcha une petite marche de  quinze centimètres environ jusqu’au pied de la presse puis continuant à me masturber elle me fit monter dessus.

Je me retrouvais la queue posée sur le bout du plateau, chaud des précédents repassages, mais toujours masturbé par des mains expertes.
D’un coup, le plateau supérieur s’affaissa sous la commande de ma repasseuse.

J’étais pris en sandwich entre les plateaux encore très chaud des pressages précédents et cette étreinte sur ma verge me provoqua un début de jouissance.

Ma repasseuse s’aperçut de cette situation et elle provoqua le pressage, sans ouvrir les vannes déclenchant la vaporisation.

Les deux plateaux pressèrent fortement  ma verge et me provoquèrent une éjaculation d’une violence et d’une intensité que je n’avais pas encore connu jusqu’à ce moment.

Des que ma presseuse, s’aperçut de mon retour au calme, elle appuya sur le bouton d’ouverture du plateau pour me libérer de la presse à repasser et de la chaleur des plateaux qui commençaient à devenir difficilement supportable.

Phénoménale, c’est le seule mot que j’ai trouvais pour qualifier l’utilisation de la presse sur mon anatomie et la jouissance que j’en ai ressenti.

Bien qu’épuisé par une jouissance extrême, mais ne voulant pas être en reste, je prenais ma repasseuse par la taille et la posée sur la table à repasser de l’atelier, les jambes écartées de chaque côté de la pointe du plateau.

Dans cette position, je me mis à titiller son clitoris avec ma langue jusqu’à ce que je le sente durcir et continuant mes caresses buccales je commençais à m’introduire à l’aide de mes doigts dans son vagin évitant d’aller trop profondément. Les vas et vient de ma mains
ainsi que les caresses de ma langue sur son bouton durci par l’excitation ne tardèrent pas à produire l’effet escompté.

Je dois dire que malgré nos débauches sexuelles c’était la première fois que je la sentais jouir aussi fortement.

Compte tenu des effets produits sur chacun, nous avons renouveler très souvent ce type de relation sexuelle au pressing, avec pas mal de variante au niveau du repassage, mais compte tenu des jouissances ressentis et des précautions prises, je lui laissais exécuter tous ses fantasmes de repassage.

De mon côté, j’exécutais toutes ses demandes sexuelles même si parfois elle semblait difficilement réalisable. Mais nous arrivions toujours à trouver une solution

Repasser les parties génitales de son compagnon avec des machines de pressing semble également irréalisable et pourtant, elle y arrivait parfaitement, me provoquant des jouissances peu commune

Si vous avez une amie, très intime, propriétaire d‘un pressing utilisant une presse à repasser faite lui lire ce récit et si elle vous en propose la réalisation  avec toutes les précautions nécessaires, n’hésitait pas, vous en redemanderai.

Ecris par piltier

2 Commentaires to “les fantasmes de mon amie”

  1. 1
    fiderrato dit:

    J’ai fait l’experience avec un fer a repasser, ma copine une fois fini le repassage de son jeans, bien amidonner, elle me dit j’aimerai faire un repassage sur tois, je bander comme un fou, elle ma fait jouir tres fort.

  2. 2
    derpad dit:

    Chaud tres chaud aussi brulant que le fer calord de ma copine.

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