Je me suis abandonnée totalement. Il fait de moi ce qu’il veut. Je reste, pauvre femme, dans ses bras et ses mains. Tout à l’heure il bandait : je voyais une bosse dans son pantalon.
Entre deux baisers prolongés il m’a mise nue. Il m’avait baisée la veille, j’avais pris du plaisir, encore loin d’un orgasme, chose que je me donnais moi même. S’il voulait recommencer, je me donnerais, je l’accueillerais encore dans ma chatte juste à coté.
Il se retourne complètement. Le voilà presque sur moi, à l’envers. Je devine ce qu’il me veut. J’y suis prête.

Je sens sa bouche sur mon ventre, sur le pubis, qui m’embrasse, me lèche, me fait du bien, me donne des envies coquines. Je sens son nez sur ma fourrure. Je distingue à peine sa bite bandée à coté de moi. Je  voudrais la pendre dans ma main : il change trop de place, je ne peux pas la pêcher.
Sa bouche continue à venir sur moi. S’il continue, il va arriver à ma chatte.
Je vais me laisser faire pour ne pas passer pour une idiote.
Je peux enfin commencer à caresser son sexe dur. Je le prend en entier dans la main, je fait coulisser le prépuce de haut en bas, je l’y laisse un instant avant de le remonter recouvrir le gland. J’aime voir son gland se cacher ainsi.
Il n’empêche que sa bouche est entièrement sur le  sexe. Il va en être écœuré de l’odeur, du goût. Je dois sentir un peu le pipi mêlé à mes poils.
Je sais que des copines aiment se faire passer une langue sur leur sexe, ce serait même la façon favorite des filles qui aiment les filles. Je trouve ça parfaitement dégoûtant, c’est comme si je devais prendre dans ma bouche une bite, même celle de mon chéri.
Il semble se régaler de lécher mes secressions. Il me fait quand même du bien, il me donne du plaisir qui monte de plus en plus. Il ne va pas me donner un orgasme ainsi, non ?
Je me sens obligée de lui tenir la tête : je caresse ses cheveux au lieu de le repousser. Mon sexe monte seul vers cette bouche qui invente des chose immorales mais si agréables.
Je m’entends gémir de plaisir, je prend mon pied.
Quelque chose m’entraîne vers sa bite. Je la prend dans la bouche, je la mordille en tenant le gland avec une main. Il me semble qu’elle vibre entre mes dents, pourtant je ne la mors pas vraiment, puisque ma langue participe aussi en léchant ce morceau de chair.
Il caresse ma tête. Je me sens obligée par politesse de monter lécher son gland. J’y trouve une foule de chose ignorées : des replis, un petit trou, une odeur…..Je fait plus que le lécher, je prend son bout dans la bouche qui en est pleine. Je fais comme d’autre je le mange.
J’arrête tout quand je sens l’orgasme arriver. Il a réussi à me faire jouir avec sa langue.
Je vais plus vite pour lui lécher la pine. Je jouis, je le sens gonfler un peu dans la bouche  il me donne son jus salé.
Nous restons sans bouger le temps de nous remettre de notre plaisir. Il se lèche les lèvres et je garde sa semence ans ma bouche fermée. Ma langue la répartit partout dans la bouche. Je fais plus que déguster, je sirote son sperme. C’est chaud, c’est visqueux, c’est salé : en résumé c’est spécial.
Je n’en suis pas écœurée, je m’en régale.
C’était ma première fellation complète. Je suis presque fière de moi, je sais faire comme d’autre.
Sa langue est restée sur mon intimité. Elle recommence sa sarabande. Son intention est visible, il tient à me faire partir encore.
Il me lèche toujours, il a faim de mon corps. Et moi je le reprend en bouche, même s’il a débandé. Tant pis, j’aime cette présence d’une bite dans ma bouche gourmande. Et puis je peux aller un peu plus bas, je peux lui lécher les couilles velues.
Je peux même rendre ce qu’il commence à me faire avec ses doigts qui caressent le petit trou. C’est bizarre de me faire caresser l’anus, ce lieu impensable pour moi, même dans mes masturbations. Il me massait le cul, il rentre maintenant.
Je le laisse faire pour apprendre de lui le principal. Il me fait connaître un plaisir différent, aussi bon que dans le vagin.
Sa langue descend vers l’anus. Il ne vas pas me lé…. Si sa langue est sur l’anus. Elle le lèche largement sans s’intéresser en particulier à ma pastille, sauf qu’il pointe le bout sa langue pile sur l’entrée. Je me détends totalement.
Normalement je sais qu’il devrait y poser sa queue et la mettre dedans, même si j’ai un peu mal au début. Il ouvre mon cul, il entre toute sa langue. Il va vite en être écœuré. Pourtant il continu. Il me sodomise anormalement. J’avais joui il y a peu, je repars encore dans un orgasme déchaîné. Il laisse sa langue là où il me la mise. Sa main revient me caresser le clitoris. Il a décidé me faire mourir de béatitude.
Je n’arrête pas de jouir.
Nous finissons quand il me donne sa langue à sucer. Elle a bon goût. Pas possible, c’est mon cul qui l’a parfumée ainsi ?

Par Fabrissa