Samedi passé, en pleine accord avec mon mari, je suis sortie avec mes collègues de travail, fêter les vacances en discothèque à la fermeture du restaurant. Après le dernier service de midi, le nettoyage, rangement, on fermait pour 15 jours. Toutes avaient prévu un sac avec des affaires pour se changer, et se faire une beauté. Tout se passait merveilleusement bien, une superbe ambiance et je dansais sans retenues, sur toutes les musiques. Sans provoquer, je me laissais quelques peu « charmer » par deux jeunes hommes, des plus séduisants, et me retrouvais à un moment à l’extérieur de la discothèque à fumer une cigarette, au milieu d’autres fumeurs avec eux. De plaisanteries, taquineries, malices, on riait sans modération. Au retour à l’intérieur, mes amies-mêmes plaisantaient sur le fait qu’ils me charmaient et je les renvoyais à penser à autre chose.
Mariée, bien dans ma tête et mon corps, j’aime m’amuser, danser, mais jamais je n’ai « réellement » trompé mon mari en vingt deux ans de mariage. J’aime mon mari, et il me satisfait pleinement… Au fil de la nuit alors que mes collègues quittaient les lieux, pour je ne sais qu’elle raison, je restais seule ! Il était environ 2 heures, quand les deux jeunes garçons, « passèrent à l’action », et ni plus ni moins ne se mirent à me faire très ouvertement la cour. Devant le bar alors qu’ont avalaient une coupe, entre eux deux, je tentais sans conviction de calmer leur ardeur, et comprimés devant la multitude d’assoiffés bruyants, je me sentais effleurée…, collée…, entre eux deux ! C’est là que magistralement, irrésistiblement, conquérant, ils m’invitèrent à quitter les lieux !!!
– j’appelle un taxi, et je vous invite chez moi, avec café et croissants…, chiche… ?
Là, insouciante, d’une manière irréfléchie, je leurs proposais de les ramener avec mon auto, sans inquiétude. Bien volontiers ils acceptèrent, et assez loin de la discothèque dans une ruelle, on rejoignait mon auto. Les tenant avec mes bras, à trois ont marchaient, déliraient, en toute liberté : même si ils osèrent de petits baisers, effleurement sur et sous mon manteau.
Alors que je conduisais, ma robe légèrement remontée sous mon manteau, penché sur le côté vers moi, mon passager encore plus pressé, il était à me draguer… Ne pouvant bouger, tremblante-même je le laissais deviner que je portais sous ma robe des bas Dim-up noirs du plus bel effet. Tandis qu’il actionnait son « bip » pour ouvrir la barrière et le sous-sol de son immeuble, dans la pénombre on s’engouffrait. L’auto stoppé, en un éclair il se « jetait » sur moi et m’embrassait, m’embrassait…, caressait, et tandis que mon siège basculait en arrière, promptement le deuxième se « mêlait » à nos ébats…. !!!
C’est là qu’une fulgurante, et des plus soudaines excitations m’envahissait comme jamais de ma vie…. Malgré l’étroitesse des lieux, je me laissais impunément, explicitement aimer, et les attirais-même encore plus à moi… ! Les brides de ma petite robe à paillettes tombées, celle-ci roulée presque à la taille, dans un geste pour ne pas l’abimer car elle ne m’appartenait pas, je repoussais mes amants, et la quittais, pour me retrouver en string…, bas et escarpins dans l’auto… Mon manteau enfilé, on sortait de l’auto, et dans se sous-sol, sans aucun charme, encore plus fiévreusement on flirtait… !
Conduite jusqu’à l’escalier, puis l’appartement, malgré nos folles envies, et sous leur commandement, ma robe laissée dans l’auto, quasiment nue sous mon manteau, je les accompagnais. Ce comportement de femme des plus débauchée, dépravée, m’excitait au plus haut point ! Oubliant tout et tous, je me donnais à deux jeunes hommes 24-26 ans, moi 41…, d’une façon des plus audacieuse, immorale, indécente même !!!
Avec l’alcool le mélange de mots doux et crus qu’on s’énonçait, nous surexcitait. Je me surprenais même à me comporter telle une actrice de film porno, avec mes deux amants… Plus ils étaient « polissons », plus je me comportais comme une cochonne et plus on s’enivrait de sexe !
Prise et reprise dans toutes les postures, en même temps par mes deux amants, je ne me retenais pas d’hurler mes intenses jouissances, qui m’envoyaient dans un autre monde… Sur moi, dans ma bouche ils m’inondèrent plusieurs fois de leurs semences et m’en délectais. Presque cinq heure du matin il était, quand complètement anéantie, le corps en feu, je prenais une rapide douche, et là sans aucun prémices, vulgairement, je fus prise dans mes fesses, et tandis que l’eau coulait, je me cambrais, et le laissais allez et venir dans mes fesses, sous une pluie de mots crus, qui m’exaltaient, galvanisaient….
– Dis le, dis-le que tu aime être baisée comme une chienne… ? comme une pute… ?
Maintenue par la chevelure, alors qu’il allait et venait dans mes fesses, je lui bafouillais, que j’aimais, que c’était bon…, d’être prise comme une Salope que j’étais !!!
Les jambes ne me tenaient quand on sortait de la douche et à peine séchée, son copain le sexe à la main sur le tabouret de la petite cuisine, m’invectivait, et m’approchant de lui presque amoureusement je l’embrassais, le caressais, et tant bien que mal, prenait « congé » d’eux…
La dizaine de kilomètres jusqu’à la maison furent long, pénible, mille et une questions je me posais, honteuse déconfite j’étais, et avec angoisse, appréhension, je rentrais discrètement à la maison, où mon mari dormait profondément, collé contre lui, malgré les larmes aux yeux, le corps en feu, mais comme « apaisée, calmée », par cette soudaine et gargantuesque « partie de jambes en l’air » je tentais de m’endormir….
Par papandrea