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Humiliée par son mari‏ Aurélie et Eric, jeune mariée de vingt cinq ans, son en voyage de noces dans le sud de la France. Ils louent une petite maison avec cour, donnant sur un chemin qui borde la plage. Eric s’adonne au plaisir de la pêche, pendant que son épouse se baigne. Il est cinq heures quand ils rentrent de la plage.
Eric s’installe au salon de jardin pour nettoyer ses cannes à pêches, pendant qu’Aurélie étend les maillots qu’elle vient de rincer. Elle est simplement vêtue d’un paréo.


Eric admire sa jeune et ravissante épouse placée juste devant lui. Il avance une main, soulève le paréo, et caresse  les fesses encore blanche d’Aurélie.
Sans se demander s’ils sont à l’abri des regards indiscrets, Eric glisse une main entre les jambes de son épouse.

-Hey, mais que fais-tu, ça va pas.
-Hum, ma chérie, mais ta petite chatte est toute mouillée…
-Ben oui, je viens de me rincer, répond Aurélie.

Eric tire sur le paréo et couche sa femme sur ses genoux. Dans l’action, le léger vêtement tombe au sol. Aurélie se retrouve entièrement nue, dans une position assez inconfortable.
Eric commence à la caresser. D’abord les seins, pas très gros, mais très ferme. Puis la main glisse plus bas, entre les cuisses. Un doigt joue avec les lèvres intimes, puis pénètre la chatte.

-Arrêtes, gronde Aurélie, regarde comme je suis, les jambes écartées.
-T’aimes pas, je sens que tu mouille là, et ne me dis pas que c’est la douche.
-Tu le sais salaud, répond Aurélie, c’est ta faute si elle mouille. Viens, allons au lit.
-Pourquoi, poursuit, on n’est pas bien dehors, il fait si beau aujourd’hui.
-Assez, ah…ah…tu vas me faire jouir…imagine si quelqu’un nous voit du chemin.
-Mais il faut bien que tout le monde en profite. Tu es si belle toute nue.

Et ce qui devait arriver arriva. Un jeune retraité qui passé par là, assiste à la scène. Cet homme, la soixantaine bien sonné, est très séduisant, malgré ses cheveux blancs. Il voit nettement les doigts d’Eric, entrer et sortir de la chatte d’Aurélie.

-Vous avez bien raison les enfants, dit l’homme, profitez-en, le temps passe si vite.
Puis vous êtes si jeunes. J’aimerais revivre tout ça, mais ma femme n’est plus là.

Ni une ni deux, Eric ploque les poignets de son épouse derrière le dos, et la pousse  en avant, jusqu’à la clôture. Aurélie essaie de résister, mais n’est pas assez forte.

-Approche petite, que je te mette un doigt, dit l’inconnu.
-Tu entends ma chérie, sourit Eric, le Monsieur veut gratter ta petite chatte.
-Mais ça va pas, se plaint Aurélie, je t’en prie mon amour, arrête ce jeu…on vient juste de se marier…
-Mais on a toute la vie devant nous, poursuit Eric. Aller, laisse toi faire. Je te soutiendrais ma chérie, tu me diras tous ce qu’il te fait à mon oreille, tu veux ?
-T’es qu’un salaud, à peine une semaine de mariage, et tu veux m’offrir à un autre.

Lentement, Aurélie est poussée vers la grille. Déjà, la main de l’inconnu est passée à travers les barreaux, prête à cueillir le fruit de la jeune femme. Ca y est, c’est fait. Aurélie pousse un long soupir, tourne la tête, passe ses bras autour du cou de son mari, lui susurre à l’oreille.

-Oh mon chéri, quel salaud. Il a enfoncé deux doigts dans ma petite chatte…il me branle…hum…il est en train d’exciter mon petit bouton…mon dieu que c’est bon…
-Tu vois bien, dit Eric, régales toi ma chérie. Je suis là pour te soutenir.

En effet, l’homme très expérimenté, branle la chatte d’Aurélie, tandis que le pouce doigte le petit bouton sorti de sa cachette.  La jeune femme est totalement offerte.
Aurélie gémit de plus en plus, sa respiration s’accélère. Soudain, en connaisseur qu’il est, l’inconnu arrête ses mouvements. C’est Aurélie, empalée sur les doigts qui la fouillent, qui poursuit le travail, en envoyant de violent coup de reins.

-Quel salaud, hurle-t-elle, regarde ce qu’il me fait faire…il sait que j’ai envie, il m’oblige à me branler sur ses doigts…il le fait exprès, il sait que je vais jouir… ah… oui…ah…ah…oui…je joui…ah…oui…

L’inconnu retire ses doigts souillés de mouille et de cyprine, les porte à la bouche d’Aurélie, qui les suce. Entre temps, il a sorti sa queue de son pantalon.

-Tu t’es régalé, hein, salope. Pour me remercier, tu vas me tailler une bonne pipe.
-Tu as entendu chéri, dit Eric, aller, obéit au Monsieur, mets toi à genoux. Fait voir comme tu suces. Regarde sa queue comme elle est belle, il est bien monté, hein ?

Soumise, Aurélie se met à genoux, saisit l’énorme bite de l’inconnu, fait coulisser le prépuce, pour mettre le gland à nu. Elle l’engloutit et commence à le sucer. L’inconnu se cramponne à la grille, se tend en avant pur mieux se branler dans la bouche de la jeune femme. Aurélie sent la queue vibrer, butter au fond de sa gorge.

-Ouah, mais t’es une bonne suceuse toi…ouah…
-Vous pouvez le dire, reprend Eric, elle adore tailler des pipes.
-Oh putain, mais c’est qu’elle va me faire cracher…ouais…vas-y salope…suce… sors ta langue…

Aurélie obéit, L’inconnu se vide copieusement les couilles sur la langue de la jeune femme. Dans un dernier réflexe, Aurélie avale la semence, nettoie le bout du zob.

-Alors, dit Eric, qu’est- ce- qu’on dit au Monsieur.
-J’ai aimé comme vous m’avez fait jouir…j’ai aimé aussi vous tailler une pipe. Vôtre queue est tellement grosse.  Pour tout ça, merci Monsieur…mais au fait, chéri, j’y pense, pourquoi n’inviterions-nous pas Monsieur, à diner ce soir.
-Voila une excellente idée, répond Eric…êtes-vous d’accord Monsieur.
-Mais bien sur, vingt et une heures, ça vous va ?

Rendez-vous est pris.
Après un copieux repas, Aurélie, va à la salle de bains. Elle en ressort vêtue d’une nuisette transparente, s’installe sur les genoux de leur invité.

-Vous avez bien mangé, demande-t-elle. Voulez-vous un désert. On peut aller au lit, si vous le souhaitez. Mon mari est d’accord.

Tandis qu’Eric, installé au salon,  prépare ses cannes à pêche pour le lendemain, il entend sa jeune épouse hurler de plaisir à chaque orgasme. L’inconnu la baise, la doigte, lui bouffe la chatte, une bonne partie de la nuit. Aurélie n’en fini pas de jouir

 

par mazaudier                    

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