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10 janvier, 2016

Baiser dans la rue

Ce soir, Séverine, ravissante femme de vingt huit ans accompagne Damien, son époux, à l’inauguration du nouveau centre culturel. Une foule considérable assiste à l’évènement. Damien se tient coller dans le dos de sa femme.
Monsieur le maire y va de son petit discours, quand soudain, intervient une coupure d’électricité. La tuile. Toute la salle est plongée dans le noir.
C’est à ce moment que Séverine sent deux mains monter le long de ses jambes, et faire glisser sa petite culotte, puis des doigts caresser la sa chatte, jusqu’au clitoris.

-A tous les coups, c’est mon mari qui a des envies, pense-t-elle,  déjà qu’avant de venir, il voulait me baiser, la, il profite de la coupure d’électricité pour jouer ave moi.

La main se fait de plus en plus vicieuse, remonte sous le bustier pour peloter les seins bien fermes de la jeune femme. Des doigts ouvre les lèvres de la chatte, la pénètre. Séverine ne peut retenir un gloussement de plaisir. Les doigts entament de lent va et vient, excite le petit bouton, un plus coquin, s’égare dans le petit trou.
Séverine n’y tient plus, ferme les yeux. Elle cambre ses fesses en arrière pour mieux se faire posséder par ces doigte qui la fouille.
Elle atteint l’orgasme, juste quand la lumière revient dans la salle. Elle ouvre les yeux. Et là…surprise. Damien, son mari, et juste devant elle, en train de discuter avec un élu.

-Mais alors, qui m’a fait ça, se demande-t-elle en se retournant.

C’est à ce moment qu’elle aperçoit, quelques mètres derrière elle, Guy, le pire ennemi de son mari, Un sourire illumine son visage. Il va même jusqu’à faire tournoyer sa petite culotte. Un bref regard vers son époux, et elle va à sa rencontre, bien décidée à lui faire regretter son geste.
Guy, sort lentement de la salle, comme s’il voulait attirer la jeune femme dans un coin plus discret. Et Séverine tombe dans le piège. Elle retrouve Guy près du caniveau qui sépare le parking, d’un chemin de terre. Elle l’enjambe, met rate son coup, et se retrouve en équilibre, une jambe de chaque côté de l’obstacle.
Guy éclate de rire en voyant les jambes écartées de la jeune femme..

-Je vais tomber, s’affole-t-elle.
-Mais non sourit Guy, attend, je vais t’aider.

Guy s’avance, profite de la position inconfortable, pour envoyer une main entre les jambes de la jeune femme, qui n’a toujours pas récupérer sa culotte. Un doigt caresse la fente humide, excite le clitoris.

-Oh la, dit Guy, c’est quoi ça, mais ta petite chatte est toute mouillée.
-C’est ta faute salaud, c’est toi qui la faite mouiller quand tu l’as branlé…lèves tes mains de là…oh non… enfoiré, pas ça…pas mon petit bouton.
-Pourquoi, nargue Guy, t’aimes pas qu’on te le gratte. Pourtant les femmes se régalent en principe, surtout qu’il est bien dur, bien décalotté. Ce n’est pas bon.

Le majeur de Guy accélère sur le clitoris de Séverine, ça la rend folle. Elle s’écarte d’avantage dans un dernier cri de plaisir.

-Oh mon dieu, gémit Séverine, si c’est bon, mais assez…tu vas me faire jouir… Qu’est- ce- qu’il dirait mon mari, s’il savait que son pire ennemi s’amuse avec la chatte de sa femme, et…oh oui…surtout s’il la fait jouir…je joui…je vais tomber…

Dans un geste chevaleresque, Guy sort son énorme bite en érection.

-Tiens, propose-t-il, attrape, accroche toi à ma queue.

Pour ne pas tomber, Séverine saisit l’énorme pieu que lui tend le rival de son mari, comme si elle s’accrochait à une branche.

-Oh putain, comme t’es monté salaud.
-Comme tous les hommes, répond Guy, ton mari aussi je suppose.
-Ca va pas, rit Séverine, ça n’a rien à voir. Sa queue est beaucoup plus petite que la tienne…et ses couilles, elles sont toutes petites aussi.
-Et si tu essayais de la prendre dans ta bouche
-Quoi, sursaute Séverine, je ne fais jamais sucé mon mari, ça ne va pas.
-Ben justement, ironise Guy, ce serai une première pour toi.

Après quelques réticences, et tenter de connaitre cet acte sexuel, elle accepte la proposition, Séverine s’avance et engloutit la bite de Guy dans sa bouche.
Elle est en train de sucer le pire ennemi de son époux, quand son téléphone sonne.

-Ciel, mon mari, dit-elle…oui mon chéri…qu’est- ce- que je fais ? Ben, je suis en train de tailler…de fumer une cigarette…tu vas au restau avec tes copains, ok.

Sentant l’épouse de son rival libre, Guy propose de l’emmener chez lui. Séverine accepte.
Guy est un phénomène au lit, il sait ce que les femmes aiment. Et Séverine se soumet à cet homme, qui veut humilier Damien, son mari.

-Allez ma chérie, tu vas bien te laisser faire, ok ? Je vais te baiser comme jamais.
-Salaud, murmure Séverine, tu sais que ma petite chatte est réservée aux doigts et à la queue de mon mari…qu’est- ce- qu’il dirait s’il savait que la grosse bite de son pire ennemi a pris sa place ?
-Il dirait que sa femme est une belle salope…et qu’est- ce qu’il dirait s’il t’entendait crier quand je vais te faire jouir…et s’il me voyait quand je vais me vider les couilles dans ta bouche, quand tu me tailles une pipe…qu’est- ce qu’il dirait, hein ? Avoue que tu aimerais qu’il me voit quand je te mets un coup de queue…salope.
-Oh oui, j’aimerai qu’il voit comme tu me baises….
-Tu sais quoi, avoue Guy, un jour, je vais l’obliger à me tailler une pipe à ce cocu, et il a intérêt à tout avaler.
-Déconne pas, dit Séverine, c’est un homme quand même.
-Justement, poursuit Guy, je veux en faire ma femelle, comme sa femme.

Il est six heures du matin, quand Guy ramène Séverine chez elle. Il s’est amusé avec elle toute la nuit, prenant plaisir à humilier son mari. Il l’a niqué, sodomiser, s’est branlé dans sa bouche après s’être fait tailler une pipe.
Mais Guy a une idée en tête. Il veut que son rival se soumette à tous ses caprices.

Un jour, Séverine entre du bureau, et entend des cris provenant de la terrasse. Elle s’avance sans bruit, et découvre un spectacle hallucinant.
Damien, son époux, en train de se faire sodomiser par Guy, son amant. Damien, en larmes,  hurle de douleur.

-Assez, crie-t-il, assez, ta bite est trop grosse…assez, s’il te plait
-T’as gueule, cocu, tu finiras par l’aimer ma bite, tourne toi…ouvre ta bouche, sors ta langue…ah, que c’est bon de se vider les couilles dans la bouche d’un connard.

Par Mazaudier

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