Il est quinze heures quand, Audrey vingt huit ans, promène dans le parc. Elle assied sur un banc, pour faire un brin de lecture. Dix minutes plus tard, Hervé, très beau gosse de trente ans, s’assied auprès d’elle.

-Bonjour Madame, belle journée aujourd’hui, dit-il pour engager la conversation.
-Bonjour Monsieur, répond-elle, c’est vrai qu’il fait très beau.
-Mais excusez-moi, vous attendez vôtre mari peut être, demande Hervé.
-Pas du tout, répond Audrey, il est en déplacement pour la semaine. Et vous, attendez-vous vôtre épouse.
-Non, reprend Hervé…en fait, elle est à l’hôtel avec son amant.

-Heu…désolé, bégaie Audrey, et vous acceptez çà…vous ne dites rien.
-Vous savez, poursuit Hervé, çà peut arriver qu’une femme trompe son mari. Accepter ou pas, ça change quoi. Elle le trompera quand même. Le principal, c’est qu’elle passe un bon moment, qu’elle prenne du plaisir.
-Ben vous alors, dit Audrey surprise, vous avez une façon de voir les choses. Vous imaginez ce qu’elle doit faire dans les bras d’un autre homme en ce moment.
-Bien sur, sourit Hervé. Le soir quand elle rentre, elle me raconte. Comment son mec lui a caressé sa petite chatte, comme il mangé son clitoris…comme il l’a faite mouiller, comment elle l’a sucé, et enfin, comment il l’a baisé, et comment elle a crié de plaisir quand elle a atteint l’orgasme…mon dieu…excusez-moi, je ne sais pas pourquoi je vous raconte ça.  Qu’allez-vous  penser de moi.

Audrey a le souffle coupé. Mais ces explications ont provoqués une excellente sensation au creux de son ventre. Elle sent même une légère humidité envahir sa chatte. Elle est troublée par le récit, et sent soudain, une attirance physique envers cet homme. Aussi, elle ne refuse pas quand il lui propose d’aller prendre un café.
Elle enfile ses lunettes de soleil, et le suit à distance vers le bar, on ne sait jamais.
Là, ils prennent une table dans un coin discret. Hervé devient vite entreprenant, prend la main de la jeune femme dans la sienne. Audrey semble paralysée.

-Détendez-vous, lui dit-il. Avez-vous déjà trompé vôtre mari.
-Non, jamais, souffle-t-elle, je l’aime et suis très fidèle.
-Mais une petite aventure ne vous tente pas, sans qu’il ne le sache.
-Arrêtez, répond Audrey, en se levant…je vais y aller, merci pour le café.
-Attendez, poursuit Hervé en posant une main sur la cuisse de la jeune femme.

Audrey est comme paralysée par l’aplomb de ce bel inconnu, mais ne retire pas la main qui, inexorablement monte sur le haut des cuisses ouvertes. Un doigt écarte le string, lisse la fente. Audrey sent le désir monté en elle.

-Monsieur, gémit-elle, ma petite chatte va être toute mouillée.
-Laissez-vous aller, dit Hervé dont le doigt joue maintenant avec le clitoris, voulez-vous que nous prenions une chambre.

Audrey parvient à se dégager, puis s’arrête net au milieu du bar, se retourne. Hervé est là, face à elle. Celui-ci tourne les talons, se dirige lentement vers la monté d’escalier qui donne accès aux chambres. Audrey hésite, mais l’attirance est trop forte. Elle décide de le suivre.

Hervé ferme la porte et clou Audrey contre la cloison. Il lui ôte son tee short, libère une magnifique poitrine. La jeune femme arrache littéralement la chemise d’Hervé, frotte ses seins aux bouts érigés contre son torse. Elle passe ses bras autour du cou, lui dévore la bouche.
Le couple roule sur le lit, soudé par les lèvres. Hervé se dégage, embrasse les tétons durcit par le désir. Une main glisse sous la jupe, pendant qu’Audrey s’occupe de défaire la ceinture du jean, l’ouvre et saisit la bite en érection. Elle lui parait énorme. En un tour de main, ils se retrouvent entièrement nus.
Hervé enfouit son visage entre les cuisses de la jeune femme, lui lèche la chatte, aspire le clitoris. Audrey feule de plaisir, saisit la bite de son partenaire, l’engloutit dans sa bouche et la suce.
Après de chauds préliminaires, Hervé couche Audrey sur le lit, et s’encastre entre ses cuisses. D’un coup sec, il la pénètre. Audrey pousse un petit  cri de plaisir.

-Enfoiré, gémit-elle, tu es en train de faire à la femme d’un autre, ce qu’on est en train de faire à la tienne.
-Et alors, souffle Hervé, ça ne t’excite pas…tu aimes, hein ?
-Oh si ça m’excite, j’adore…tu es tellement bien monté. Je ne comprends pas que ta femme aille voir ailleurs.
-Elle n’en a jamais assez, il lui en faut toujours plus.

Audrey renverse la situation. Elle chevauche Hervé et s’empale sur son énorme bite, reins cambrés au maximum, seins tendus en avant, pour en faire surgir les bouts.

-Que t’es belle, dit Hervé…t’as un corps magnifique.
-Ben vas-y, joue avec, il t’appartient cet après-midi…hum…salaud, je vais venir…
-Moi aussi…jouissons ensemble…ah…ah…

L’orgasme d’Audrey est terrible. Ses cris de plaisir couvrent largement les râles d’Hervé. La jeune femme s’écroule sur le torse de son amant, lui dévore les lèvres.

-Oh putain, comme tu m’as fait jouir… c’est la première fois que je jouis comme ça.
-Pourquoi, sourit Hervé, ton mari n’assure pas au lit.
-Ca n’a rien à voir, répond Audrey. Déjà, sa bite est plus petite, puis, ne n’est pas foudre de guerre au lit…toi, tu es un vrai baiseur. Tu sais ce qu’aiment les femmes.
-On peut se revoir si tu veux, demande Hervé.
-Pourquoi pas, répond Audrey, je viens tous les jours dans ce parc.

Si ça ce n’est pas un rendez-vous, ça lui ressemble.
En effet, Audrey et Hervé vont se voir, et revoir. Ils vont faire l’amour, encore et encore, jusqu’à plus soif. Audrey va passer ses après midi à crier de plaisir.

Par Mazaudier